Dans ses questions du mois « Questekki » Mamadou Lamine Diallo, fondateur du mouvement « Tekki » s’est penché sur la boulimie du pouvoir de certains pays africains enclins à s’éterniser au pouvoir. Une façon pour lui d'évoquer la question d’un éventuel troisième mandat du président Macky Sall qui défraie la chronique.
« Il se dit que l’Afrique est riche de ses ressources naturelles. De plus, c’est un continent sous exploré. Il est l’enjeu de ce 21ème siècle. Là où elle est faible, c’est dans le domaine du capital social, c’est-à-dire, les règles sociales et les institutions mises en place pour les faire respecter. C’est le cas de la question du troisième mandat présidentiel. Derrière le troisième mandat se cache la présidence à vie. Car après deux, pourquoi pas trois, quatre, cinq ainsi de suite jusqu’à l’infini. Comme au Gabon de Oumar Bongo, sous prétexte qu’il n’y a personne pour remplacer le grand timonier ou alors il est seul à assurer la stabilité du pays. On nous dira bientôt que Macky Sall est indispensable à la stabilité du Sénégal. Et pour cela, il lui faut un troisième mandat prévu dans la constitution du Grand Tailleur Top Model Ismaïla Madior Fall».
Pour imposer la règle impérative des deux mandats maximum, Mamadou Lamine Diallo livre sa recette « Pour cela, il nous faudra réunir trois millions de signatures pour amender le protocole additionnel de la CEDEAO afin d’y inclure la règle impérative des deux mandats maximum. C’est pourquoi il nous faut gagner ce combat contre Alpha Condé en Guinée», propose t-il.
A en croire le leader du mouvement Tekki, c'est bien la règle impérative des deux mandats maximum qui exclut une stratégie à la Poutine, qui fera avancer le Sénégal et l’Afrique.
Le député membre de l'opposition de conclure que « cette règle va pousser à l’ajustement des institutions comme le parlement et la justice ainsi que les partis politiques forcés à la gouvernance démocratique. Et c’est cela qui empêchera des prédateurs comme Franck Timis, Ovidiu Tender de sévir en Afrique et nous poussera à la gestion démocratique des ressources naturelles, fer, zircon, pétrole, gaz, foncier, etc
» .
« Il se dit que l’Afrique est riche de ses ressources naturelles. De plus, c’est un continent sous exploré. Il est l’enjeu de ce 21ème siècle. Là où elle est faible, c’est dans le domaine du capital social, c’est-à-dire, les règles sociales et les institutions mises en place pour les faire respecter. C’est le cas de la question du troisième mandat présidentiel. Derrière le troisième mandat se cache la présidence à vie. Car après deux, pourquoi pas trois, quatre, cinq ainsi de suite jusqu’à l’infini. Comme au Gabon de Oumar Bongo, sous prétexte qu’il n’y a personne pour remplacer le grand timonier ou alors il est seul à assurer la stabilité du pays. On nous dira bientôt que Macky Sall est indispensable à la stabilité du Sénégal. Et pour cela, il lui faut un troisième mandat prévu dans la constitution du Grand Tailleur Top Model Ismaïla Madior Fall».
Pour imposer la règle impérative des deux mandats maximum, Mamadou Lamine Diallo livre sa recette « Pour cela, il nous faudra réunir trois millions de signatures pour amender le protocole additionnel de la CEDEAO afin d’y inclure la règle impérative des deux mandats maximum. C’est pourquoi il nous faut gagner ce combat contre Alpha Condé en Guinée», propose t-il.
A en croire le leader du mouvement Tekki, c'est bien la règle impérative des deux mandats maximum qui exclut une stratégie à la Poutine, qui fera avancer le Sénégal et l’Afrique.
Le député membre de l'opposition de conclure que « cette règle va pousser à l’ajustement des institutions comme le parlement et la justice ainsi que les partis politiques forcés à la gouvernance démocratique. Et c’est cela qui empêchera des prédateurs comme Franck Timis, Ovidiu Tender de sévir en Afrique et nous poussera à la gestion démocratique des ressources naturelles, fer, zircon, pétrole, gaz, foncier, etc
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