Le message de Bamako à ses alliés africains et français est clair : ne partez pas, le travail n’est pas encore terminé sur le terrain dans le Nord. « Le gouvernement souhaite la présence de l’armée française sur le terrain des opérations jusqu’à la libération totale du territoire national,le déploiement total de la Misma et sa transformation en cours en Mission intégrée des Nations unies au Mali (Minuma) », a ainsi déclaré Diango Cissoko, le Premier ministre malien.
Face aux bailleurs de fonds et aux partenaires du développement, la question des prochaines élections est également revenue. Au cours de la rencontre, Diango Cissoko a répété à ce sujet, que « le gouvernement (était) déterminé à organiser ces élections à la période indiquée par le président de la République ».
En principe, c'est au mois de juillet que devrait se tenir la présidentielle malienne. Mais la machine électorale n’est pas encore forcément rôdée. Selon le Premier ministre malien, la chronologie de l’organisation des élections devrait être rapidement proposée. Alors, gouvernement et partis politiques maliens discuteront en toute franchise des scénarios possibles.
Source : Rfi.fr
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