« Un étudiant étranger fortuné qui vient en France paye le même montant qu’un étudiant français peu fortuné dont les parents résident, travaillent et payent des impôts en France depuis des années. C’est injuste. », a déclaré lundi le Premier ministre français Edouard Philippe lors des Rencontres Universitaires Francophones 2018. Avant d’ajouter :
« Nous avons donc décidé que les étudiants internationaux qui ne résident pas dans l’Espace économique européen paieront des frais d’inscription correspondant approximativement au tiers du coût réel de leur formation ».
Environ 100.000 étudiants seraient concernés.
L'idée est de contrer la désaffection des étudiants étrangers dans les universités et grandes écoles françaises en donnant un signal de qualité de la formation. Aujourd'hui, les étudiants hors de l'Union Européenne paient les frais d'inscription classiques de quelques centaines d'euros.
La réforme gouvernementale prévoit qu'une partie d'entre eux paie des frais d'inscription plus élevés", jusqu'à un plafond d'"un tiers du coût réel", selon la note conjointe de Matignon, du Quai d'Orsay et du ministère de l'Enseignement supérieur. Ces étudiants devront donc payer 2.770 € par an en licence et 3.770 € en master et doctorat. Ce qui représente seulement, "un tiers du coût réel" de ces formations.
Des mesures qui excluent du système éducatif français les étudiants exrta communauté européenne, dont les familles ne sont pas aisées.
« Nous avons donc décidé que les étudiants internationaux qui ne résident pas dans l’Espace économique européen paieront des frais d’inscription correspondant approximativement au tiers du coût réel de leur formation ».
Environ 100.000 étudiants seraient concernés.
L'idée est de contrer la désaffection des étudiants étrangers dans les universités et grandes écoles françaises en donnant un signal de qualité de la formation. Aujourd'hui, les étudiants hors de l'Union Européenne paient les frais d'inscription classiques de quelques centaines d'euros.
La réforme gouvernementale prévoit qu'une partie d'entre eux paie des frais d'inscription plus élevés", jusqu'à un plafond d'"un tiers du coût réel", selon la note conjointe de Matignon, du Quai d'Orsay et du ministère de l'Enseignement supérieur. Ces étudiants devront donc payer 2.770 € par an en licence et 3.770 € en master et doctorat. Ce qui représente seulement, "un tiers du coût réel" de ces formations.
Des mesures qui excluent du système éducatif français les étudiants exrta communauté européenne, dont les familles ne sont pas aisées.
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