« Ce que nous visons c’est qu’effectivement chacune des communes d’intervention que le taux de collecte puisse être au moins de 70%. C’est à dire que 70% des déchets produits puis- sent être collectés et traités. Ce qui fait qu’on va éviter des dépôts sauvages au niveau des communes » confie-t-il, soulignant que cela va considérablement améliorer le cadre de vie.
Dans le même ordre d’idées, il note que l’autre objectif c’est de créer, à travers ce projet, plus de 3 000 emplois directs et durables au niveau de la chaîne de collecte, de recyclage et de re- valorisation des déchets. Selon lui, il faut que toutes ces infrastructures soient créatrices d’emplois pour les jeunes et les femmes.
Au final, l’objectif majeur c’est de renforcer l’em- ployabilité en formant plus de 20 000 per- sonnes à travers les collectivités territoriales. Permettre de former les élus, les services techniques municipaux, les acteurs communautaires c’est à dire les délégués de quartiers, les jeunes des ASC, les femmes, les GPF, dans la gestion des déchets. Les récupérateurs et les trieurs seront également tous formés. On va donc former tous les acteurs de la chaîne de gestion des déchets pour leur permettre de se doter de plus de capacités pour mieux participer à la gestion des déchets’’, assure-t-il, rappelant que la gestion des déchets est une compétence transférée aux communes.
Donc, mentionne-t-il, ces dernières sont au centre du dispositif de ce projet qui va leur permettre de renforcer leurs capacités et de parachever les réformes sur les plans institutionnel et financier. Ce qui leur permettra de renforcer leurs ressources endogènes, rapporte le correspondant du journal Le Témoin à Mbour.
Dans le même ordre d’idées, il note que l’autre objectif c’est de créer, à travers ce projet, plus de 3 000 emplois directs et durables au niveau de la chaîne de collecte, de recyclage et de re- valorisation des déchets. Selon lui, il faut que toutes ces infrastructures soient créatrices d’emplois pour les jeunes et les femmes.
Au final, l’objectif majeur c’est de renforcer l’em- ployabilité en formant plus de 20 000 per- sonnes à travers les collectivités territoriales. Permettre de former les élus, les services techniques municipaux, les acteurs communautaires c’est à dire les délégués de quartiers, les jeunes des ASC, les femmes, les GPF, dans la gestion des déchets. Les récupérateurs et les trieurs seront également tous formés. On va donc former tous les acteurs de la chaîne de gestion des déchets pour leur permettre de se doter de plus de capacités pour mieux participer à la gestion des déchets’’, assure-t-il, rappelant que la gestion des déchets est une compétence transférée aux communes.
Donc, mentionne-t-il, ces dernières sont au centre du dispositif de ce projet qui va leur permettre de renforcer leurs capacités et de parachever les réformes sur les plans institutionnel et financier. Ce qui leur permettra de renforcer leurs ressources endogènes, rapporte le correspondant du journal Le Témoin à Mbour.
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