A l’occasion de son investiture à la présidentielle 2019 par son parti « LIGGEYE meune sa bopp-mome sa bopp L2M » Ibou Yagou Ndiaye, l'ancien ambassadeur du Sénégal au Maroc s’est prononcé sur l’immigration des jeunes. « J’ai l’habitude de dire que lorsque la question de l’immigration est évoquée, nous Sénégalais, nous devons l’aborder avec précaution pour deux raisons. Traditionnellement nous sommes un pays immigré , deuxième raison nous sommes l’un des rares pays africains qui comptent énormément de chefs d’Etats en dehors du Sénégal. Le président Léopold Sédar Sengor , Wade et Diouf le sont tous. Et j’espère que le président Sall ne va pas leur emboiter le pas . Donc nous avons des chefs d’Etats immigrés."
Pour ce qui est des jeunes qui partent vers l'Occident, l'ancien ambassadeur du Sénégal au Maroc pense que la coopération de l'Espagne avec le Sénégal a permis d’accentuer la surveillance de nos côtes tant que les navires qui partent de Sénégal sont de moins en moins fréquents.
Mais la voie terrestre par la Mauritaine, le Maroc, par le Mali, l’Algérie et le Maroc est toujours ouverte, tout simplement parce qu’il n' y a pas de visas pour rallier cette route, indique-t-il.
Néanmoins le candidat déclaré à la Présidentielle n'a pas manqué de situer les responsables. "Les responsabilités sont partagées par les trois pays celui d'origine, de transit et le pays d’accueil, qui doivent solidairement résoudre ce problème. Car, au moment où nous décrions le Barça-Barsakh, il y a des Barcelonais qui s'enrichissent dans notre pays. Donc ce qu’il faut, c’est une bonne formation pour les jeunes et l’encadrement, "suggère t-il
Pour ce qui est des jeunes qui partent vers l'Occident, l'ancien ambassadeur du Sénégal au Maroc pense que la coopération de l'Espagne avec le Sénégal a permis d’accentuer la surveillance de nos côtes tant que les navires qui partent de Sénégal sont de moins en moins fréquents.
Mais la voie terrestre par la Mauritaine, le Maroc, par le Mali, l’Algérie et le Maroc est toujours ouverte, tout simplement parce qu’il n' y a pas de visas pour rallier cette route, indique-t-il.
Néanmoins le candidat déclaré à la Présidentielle n'a pas manqué de situer les responsables. "Les responsabilités sont partagées par les trois pays celui d'origine, de transit et le pays d’accueil, qui doivent solidairement résoudre ce problème. Car, au moment où nous décrions le Barça-Barsakh, il y a des Barcelonais qui s'enrichissent dans notre pays. Donc ce qu’il faut, c’est une bonne formation pour les jeunes et l’encadrement, "suggère t-il
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