Dr Mactar Faye, directeur Exécutif de la nouvelle prévention routière a signifié que l’accident de la circulation est un véritable fléau synonyme de pertes de vies humaines, de blessés graves et de dégâts matériels important. «Si le nombre de personnes tuées sur les routes dans notre pays est en recul de -8% (soit 400 personnes tuées en 2015 sur les routes contre 433 en 2014), on déplore une augmentation à la fois du nombre d’accidents corporels, (plus de 10,7% soit 13 892 en 2015 contre 12 547 en 2014) et du nombre de personnes blessées (plus de 8,2%, soit 23 831 en 2015 contre 22 008 en 2014) ».
Pour Mactar Faye, ces résultats confirment la nécessité pour chacun de renforcer sa vigilance pour un partage sécurisé de l’espace de circulation. «Il ne faut toutefois pas oublier que nous ne sommes pas les seuls et que la route est un lieu comme qui se partage et obéit à des règles afin que tous le monde puisse rouler en sécurité ».
Le Secrétaire général du ministère des Transports a aussi attiré l’attention des gens sur ces accidents de la route : « Quelques 2% des accidents de la route sont dus à l’état de la route. Des mesures infrastructurelles sont prises pour réduire cela. Il y a d’autres modules qui sont dus à l’état des véhicules. Nous avons mis en œuvre le contrôle technique. Il reste en fin la véritable préoccupation, constitue le comportement des individus sur les routes parce que plus de 92% des accidents de la route ont pour cause l’attitude, le comportement du conducteur. C'est-à-dire le sentiment de fatigue ou de somnolence, l’utilisation de psychotrope comme la drogue, l’alcool, en tout cas les défauts de vigilances. Pas de discipline, manque de civisme ».
Selon Jules Sagna, «la route tue et continue à tuer. Chaque année, c'est plus de 500 personnes que nous perdons sur nos routes au Sénégal. Le coût s’élève à plus de 1% de nos produits économique brut ». Pour corriger cela, le secrétaire général du ministère des Transports a appelé à la mobilisation de tous (les chefs religieux, les personnalités sportive), a invité les structures, les ONG, la nouvelle prévention routière sénégalaise, a plus de sensibilisation.
«Mais, la sanction, elle est juste, elle est légale. Elle est prévue par le code de la route, par le code pénal. Des dispositions seront prises pour les sanctions prises par la loi. La mise à point du permis de conduire est une instruction forte du chef de l’Etat. Si vous prenez la mise au point du permis de conduire, il est utile, adéquat de discuter avec tous les acteurs», indique ce dernier.
La semaine de la prévention routière est dédiée cette année au partage de cet espace de circulation. Plusieurs personnalités ont été présentes à la rencontre :
Le secrétaire général représentant le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, le directeur des Assurances représentant le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, le représentant du Gouverneur de Dakar, le président de la fédération des sociétés d’assurances, entre autres, étaient présents au lancement de la 14ème édition de la semaine nationale de la prévention.
Pour Mactar Faye, ces résultats confirment la nécessité pour chacun de renforcer sa vigilance pour un partage sécurisé de l’espace de circulation. «Il ne faut toutefois pas oublier que nous ne sommes pas les seuls et que la route est un lieu comme qui se partage et obéit à des règles afin que tous le monde puisse rouler en sécurité ».
Le Secrétaire général du ministère des Transports a aussi attiré l’attention des gens sur ces accidents de la route : « Quelques 2% des accidents de la route sont dus à l’état de la route. Des mesures infrastructurelles sont prises pour réduire cela. Il y a d’autres modules qui sont dus à l’état des véhicules. Nous avons mis en œuvre le contrôle technique. Il reste en fin la véritable préoccupation, constitue le comportement des individus sur les routes parce que plus de 92% des accidents de la route ont pour cause l’attitude, le comportement du conducteur. C'est-à-dire le sentiment de fatigue ou de somnolence, l’utilisation de psychotrope comme la drogue, l’alcool, en tout cas les défauts de vigilances. Pas de discipline, manque de civisme ».
Selon Jules Sagna, «la route tue et continue à tuer. Chaque année, c'est plus de 500 personnes que nous perdons sur nos routes au Sénégal. Le coût s’élève à plus de 1% de nos produits économique brut ». Pour corriger cela, le secrétaire général du ministère des Transports a appelé à la mobilisation de tous (les chefs religieux, les personnalités sportive), a invité les structures, les ONG, la nouvelle prévention routière sénégalaise, a plus de sensibilisation.
«Mais, la sanction, elle est juste, elle est légale. Elle est prévue par le code de la route, par le code pénal. Des dispositions seront prises pour les sanctions prises par la loi. La mise à point du permis de conduire est une instruction forte du chef de l’Etat. Si vous prenez la mise au point du permis de conduire, il est utile, adéquat de discuter avec tous les acteurs», indique ce dernier.
La semaine de la prévention routière est dédiée cette année au partage de cet espace de circulation. Plusieurs personnalités ont été présentes à la rencontre :
Le secrétaire général représentant le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, le directeur des Assurances représentant le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, le représentant du Gouverneur de Dakar, le président de la fédération des sociétés d’assurances, entre autres, étaient présents au lancement de la 14ème édition de la semaine nationale de la prévention.
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