La volonté de nuire est sans équivoque.
Notre pays, le Sénégal, est en train de subir, comme tant d’autres, les conséquences d’une crise financière internationale, dans un contexte où la redistribution des cartes est en cours.
Au plan national, le Président Macky Sall se bat courageusement pour juguler les effets néfastes du legs de l’ancien régime. Nul ne pourra effacer la réalité du pillage en règle des ressources nationales par un clan, avec les conséquences que l’on sait sur le montant du service de la dette, les tensions sur le trésor public et l’environnement des affaires qui ne favorise guère les investissements générateurs d’emplois.
La plupart des Sénégalais ont reconnu les efforts méritoires que déploie le gouvernement pour rétablir les équilibres macro économiques, gérer la demande sociale, notamment avec les bourses familiales, la Couverture Maladie universelle, le relèvement des revenus du monde rural, la baisse des impôts sur le revenu, bref, pour améliorer le pouvoir d’achat des populations.
A l’échelle de la sous-région, l’armée sénégalaise, aux côtés de celles d’autres pays africains et de la France, est intervenue vaillamment pour annihiler le reflex impérial du fanatisme religieux qui constitue une menace en mouvement, avec des visées qui dépassent largement l’espace du territoire malien.
C’est le moment choisi par cet individu pour développer un discours, véritable condensé de menaces sur les acquis de notre nation, patiemment construits depuis des siècles. Pourquoi, subitement, exerce- t-il, de nouveau, tant de pressions sur ces précieux acquis ? Qu’est-ce qui donc fait courir ce Monsieur qui remet en question la cohésion nationale, la symbiose des religions et des confréries, la paix civile et l’unité nationale ?
Quand on connaît sa tortuosité et son rapport à l’argent, on est en droit d’appeler à la vigilance, pour tuer dans l’œuf un projet à tous égards en porte à faux avec l’intérêt général et la continuité de la République. Les Institutions de notre pays, et d’abord le Président de la République, la clé de voûte, sont bien au dessus de la liberté de presse dévoyée par un citoyen qui, empêtré dans une apparente confusion mentale, instrumentalise, périodiquement, son propre groupe de presse pour laisser couler sa bave haineuse, salmigondis d’insanités et de contre-vérités, avec des chiffres fantaisistes, grossis et grossiers, sortis de sa manche, pour tenter, lamentablement, d’entacher l’honorabilité de Sénégalais comme Monsieur Moustapha Niasse, Président de l’Assemblée nationale, Secrétaire général de l’AFP, dont le parcours exemplaire est célébré par ses compatriotes et dans le monde entier.
L’Alliance des Forces de Progrès engage tous les démocrates et tous les patriotes sénégalais à se lever comme un seul homme pour condamner énergiquement cette sortie sans précédent d’un individu qui tente de mettre en péril la sécurité nationale, notre «commun vouloir de vie commune» et la stabilité de nos Institutions.
A ce stade, l’Etat doit utiliser, sans faiblir, les mécanismes et voies de droit appropriés pour mettre fin à toute impunité.
Fait à Dakar, le 28 décembre 2013
Alliance des Forces de Progrès
Notre pays, le Sénégal, est en train de subir, comme tant d’autres, les conséquences d’une crise financière internationale, dans un contexte où la redistribution des cartes est en cours.
Au plan national, le Président Macky Sall se bat courageusement pour juguler les effets néfastes du legs de l’ancien régime. Nul ne pourra effacer la réalité du pillage en règle des ressources nationales par un clan, avec les conséquences que l’on sait sur le montant du service de la dette, les tensions sur le trésor public et l’environnement des affaires qui ne favorise guère les investissements générateurs d’emplois.
La plupart des Sénégalais ont reconnu les efforts méritoires que déploie le gouvernement pour rétablir les équilibres macro économiques, gérer la demande sociale, notamment avec les bourses familiales, la Couverture Maladie universelle, le relèvement des revenus du monde rural, la baisse des impôts sur le revenu, bref, pour améliorer le pouvoir d’achat des populations.
A l’échelle de la sous-région, l’armée sénégalaise, aux côtés de celles d’autres pays africains et de la France, est intervenue vaillamment pour annihiler le reflex impérial du fanatisme religieux qui constitue une menace en mouvement, avec des visées qui dépassent largement l’espace du territoire malien.
C’est le moment choisi par cet individu pour développer un discours, véritable condensé de menaces sur les acquis de notre nation, patiemment construits depuis des siècles. Pourquoi, subitement, exerce- t-il, de nouveau, tant de pressions sur ces précieux acquis ? Qu’est-ce qui donc fait courir ce Monsieur qui remet en question la cohésion nationale, la symbiose des religions et des confréries, la paix civile et l’unité nationale ?
Quand on connaît sa tortuosité et son rapport à l’argent, on est en droit d’appeler à la vigilance, pour tuer dans l’œuf un projet à tous égards en porte à faux avec l’intérêt général et la continuité de la République. Les Institutions de notre pays, et d’abord le Président de la République, la clé de voûte, sont bien au dessus de la liberté de presse dévoyée par un citoyen qui, empêtré dans une apparente confusion mentale, instrumentalise, périodiquement, son propre groupe de presse pour laisser couler sa bave haineuse, salmigondis d’insanités et de contre-vérités, avec des chiffres fantaisistes, grossis et grossiers, sortis de sa manche, pour tenter, lamentablement, d’entacher l’honorabilité de Sénégalais comme Monsieur Moustapha Niasse, Président de l’Assemblée nationale, Secrétaire général de l’AFP, dont le parcours exemplaire est célébré par ses compatriotes et dans le monde entier.
L’Alliance des Forces de Progrès engage tous les démocrates et tous les patriotes sénégalais à se lever comme un seul homme pour condamner énergiquement cette sortie sans précédent d’un individu qui tente de mettre en péril la sécurité nationale, notre «commun vouloir de vie commune» et la stabilité de nos Institutions.
A ce stade, l’Etat doit utiliser, sans faiblir, les mécanismes et voies de droit appropriés pour mettre fin à toute impunité.
Fait à Dakar, le 28 décembre 2013
Alliance des Forces de Progrès
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