Le DIICOT, chargé de lutter contre le crime organisé en Roumanie, a annoncé l’ouverture d’une enquête à la suite des « Panama papers » mettant en cause l’homme d’affaires Frank Timis et d’autres ressortissants Roumains dont Cornelius lacobov. Frank Timis dont le nom est associé à Pétrotim au Sénégal, a sollicité les services de cabinet panaméen Mossack Fonseca pour ouvrir des sociétés offshores au Bahamas et dans les îles Caimans. Si le cas Timis intéresse particulièrement les autorités roumaines, c’est qu’il a commencé à solliciter les services du fameux cabinet panaméen dès 1997.
Frank Timis a fait appel au célèbre cabinet panaméen Mossack Fonseca pour loger deux de ses sociétés aux Bahamas et dans les Îles Caïmans, des paradis fiscaux. Selon les informations de Libération, les autorités roumaines ont d'ailleurs décidé d'ouvrir une enquête d'autant que Frank Timis n'a pas cherché à nier les faits. Au contraire, il a bien avoué vouloir, à travers ses sociétés offshores, fuir la tension fiscale.
Pour rappel, le journal français Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d'investigations ( ICIJ), ont eu accès à une masse d'informations inédites qui jette une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux. Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s'agit de la plus grosse fuite d'informations jamais exploitée par les médias, comme l'écrit Le Monde.
Frank Timis a fait appel au célèbre cabinet panaméen Mossack Fonseca pour loger deux de ses sociétés aux Bahamas et dans les Îles Caïmans, des paradis fiscaux. Selon les informations de Libération, les autorités roumaines ont d'ailleurs décidé d'ouvrir une enquête d'autant que Frank Timis n'a pas cherché à nier les faits. Au contraire, il a bien avoué vouloir, à travers ses sociétés offshores, fuir la tension fiscale.
Pour rappel, le journal français Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d'investigations ( ICIJ), ont eu accès à une masse d'informations inédites qui jette une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux. Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s'agit de la plus grosse fuite d'informations jamais exploitée par les médias, comme l'écrit Le Monde.
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