«Ce que nous avons constaté, c’est qu’il y a une accalmie qui depuis quelques mois, s’est installée dans la région. Nous avons une claire conscience, des raisons profondes de cette accalmie. Nous avons discuté avec le Roi d’Oussouye qui nous a longuement parlé du contexte. Nous avons discuté avec d’autres autorités catholiques, et qui, participent au dialogue pour le retour de la paix. On a discuté avec les femmes du bois sacré aussi. Nous savons les raisons pour lesquelles il y a une accalmie. Mais accalmie ne veut pas dire paix. La preuve ce que les femmes du bois sacré nous ont dit qu’elles sont peu nombreuses dans ce bois sacré parce que beaucoup d’entre elles sont mortes malheureusement. Mais elles disent qu’elles vont y demeurer jusqu'à ce que la paix revienne », explique Bruneau Dernevil.
Il ajoute: «Je profite pour dire à l’Etat, qu’il a une obligation pour protéger ces personnes. Parce que se sont des personnes qui se sont donné à leur peuple. Le fait que ces femmes restent encore dans des conditions précaires, montre que la paix n’est pas encore installée. Il faut donc que nous œuvrons tous dans ce sens. Mais ce qui est paradoxale, aujourd’hui le MFDC semble prêt à aller vers une solution définitive de la paix en Casamance. On attend que l’Etat joue sa partition. Il faut que l’Etat prenne ses responsabilités. Nous avons dit depuis très longtemps, il faut appeler les Nations- Unies pour régler la crise Casamançaise. Et cette crise peut être réglée en moins de trois ans. Nous en avons des preuves et l’avons dit et redit », livre Walf Radio.
Il ajoute: «Je profite pour dire à l’Etat, qu’il a une obligation pour protéger ces personnes. Parce que se sont des personnes qui se sont donné à leur peuple. Le fait que ces femmes restent encore dans des conditions précaires, montre que la paix n’est pas encore installée. Il faut donc que nous œuvrons tous dans ce sens. Mais ce qui est paradoxale, aujourd’hui le MFDC semble prêt à aller vers une solution définitive de la paix en Casamance. On attend que l’Etat joue sa partition. Il faut que l’Etat prenne ses responsabilités. Nous avons dit depuis très longtemps, il faut appeler les Nations- Unies pour régler la crise Casamançaise. Et cette crise peut être réglée en moins de trois ans. Nous en avons des preuves et l’avons dit et redit », livre Walf Radio.
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