La décision des autorités sur la fermeture du collège Yavuz Selim ne laisse pas indifférent les élèves du groupe qui comptent manifester leur inquiétude. «Nous sommes là, pour lancer un appel aux autorités parce que l’école actuellement connait des problèmes. On ne suit plus nos cours normalement», interpelle Mamadou Mamoune Diagne, élève en classe de terminale au collège Yavuz Selim.
Ces potaches demandent ainsi aux autorités étatiques de revoir leur décision. «C'est-à-dire non pas de fermer l’école mais de substituer l’administration. Maintenant l’administration n’est plus sous la tutelle de l’Association Baskent Egitim, mais sous la tutelle d’une nouvelle organisation, d’une nouvelle association qui n’a que deux (2) mois d’expérience», déplorent les élèves.
«L’école a eu à faire d’importants résultats et c’est l’administration sortante qui les a faits. Nous venons ici pour dénoncer cette injustice mais aussi nous défendons nos intérêts parce que c’est notre intérêt qui est en jeu. Nous qui sommes en classe d’examen, les cours seront perturbé, c’est sûr. Des devoirs ont été reportés, certains annulés. C’est une décision qui nous handicape», déplore Mamadou Mamoune Diagne dans les ondes de Sud fm,
Selon lui, «ce qu’ils (élèves) sont en train de faire, est un plan d’action qui consiste à visiter toutes les rédactions de la ville pour alerter avant d'organiser un mouvement de contestation pacifique à travers une marche dans la semaine pour faire part de leurs doléances».
Toutefois, ces élèves demandent aux parlementaires de les soutenir dans ce combat. Les parents aussi ont décidé de se joindre à ce combat.
Un pool d’avocats déjà constitué, la Cour suprême sera saisie pour bloquer le transfert de gestion.
Ces potaches demandent ainsi aux autorités étatiques de revoir leur décision. «C'est-à-dire non pas de fermer l’école mais de substituer l’administration. Maintenant l’administration n’est plus sous la tutelle de l’Association Baskent Egitim, mais sous la tutelle d’une nouvelle organisation, d’une nouvelle association qui n’a que deux (2) mois d’expérience», déplorent les élèves.
«L’école a eu à faire d’importants résultats et c’est l’administration sortante qui les a faits. Nous venons ici pour dénoncer cette injustice mais aussi nous défendons nos intérêts parce que c’est notre intérêt qui est en jeu. Nous qui sommes en classe d’examen, les cours seront perturbé, c’est sûr. Des devoirs ont été reportés, certains annulés. C’est une décision qui nous handicape», déplore Mamadou Mamoune Diagne dans les ondes de Sud fm,
Selon lui, «ce qu’ils (élèves) sont en train de faire, est un plan d’action qui consiste à visiter toutes les rédactions de la ville pour alerter avant d'organiser un mouvement de contestation pacifique à travers une marche dans la semaine pour faire part de leurs doléances».
Toutefois, ces élèves demandent aux parlementaires de les soutenir dans ce combat. Les parents aussi ont décidé de se joindre à ce combat.
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