Le plus grand scandale de chantage sexuel que l’Afrique a connu jusque-là. 274 hommes d’affaires et politiciens enregistrés ou filmés dans des positions compromettantes. Ce, avant d’être contraints par les sœurs Jyoti et Kiran Matharoo à payer de fortes sommes pour que leurs torrides secrets soient bien gardés.
Des Sénégalais aisés ont été victimes des deux sœurs canadiennes qui ont séjourné à plusieurs reprises à Dakar. Au cœur de ce scandale se trouve un site internet, naijagistlive, contrôlé par les deux sœurs qui ont réussi à ferrer des milliardaires nigérians comme Femi Otedola, Musa Danjuma, etc.
Un confrère nigérian dans les colonnes du journal « Libération », explique: « Les sœurs qui sont des prostituées de la haute société ont cherché à faire chanter Otedola en prétendant avoir des vidéos compromettantes. Elles ont demandé de l’argent pour ne pas rendre publics les détails. C’était leur «modus operandi». Il a également été découvert que les filles enregistraient des conversations et vidéos sexuelles de leurs riches clients composés au Nigéria de politiciens, propriétaires de clubs et des hommes d’affaires. Après des relations sexuelles et partouzes pour certains, elles s’approchent de leurs victimes par un tiers, les menaçant de payer des milliers de dollars si elles ne voulaient pas que la vidéo soit diffusées sur leur site internet».
Les deux sœurs ont agi comme ça pendant deux (2) ans avant qu’une de leurs victimes ne prenne son courage à deux mains pour alerter la police. Leur procès s’ouvre le 26 janvier au Nigéria et d’ores et déjà, il est sûr qu’on assistera à une séance judiciaire torrides puisque les deux (2) inculpées ont fait des aveux complets en citant les noms de toutes leurs victimes ainsi que les montants encaissés après chantage.
Des Sénégalais aisés ont été victimes des deux sœurs canadiennes qui ont séjourné à plusieurs reprises à Dakar. Au cœur de ce scandale se trouve un site internet, naijagistlive, contrôlé par les deux sœurs qui ont réussi à ferrer des milliardaires nigérians comme Femi Otedola, Musa Danjuma, etc.
Un confrère nigérian dans les colonnes du journal « Libération », explique: « Les sœurs qui sont des prostituées de la haute société ont cherché à faire chanter Otedola en prétendant avoir des vidéos compromettantes. Elles ont demandé de l’argent pour ne pas rendre publics les détails. C’était leur «modus operandi». Il a également été découvert que les filles enregistraient des conversations et vidéos sexuelles de leurs riches clients composés au Nigéria de politiciens, propriétaires de clubs et des hommes d’affaires. Après des relations sexuelles et partouzes pour certains, elles s’approchent de leurs victimes par un tiers, les menaçant de payer des milliers de dollars si elles ne voulaient pas que la vidéo soit diffusées sur leur site internet».
Les deux sœurs ont agi comme ça pendant deux (2) ans avant qu’une de leurs victimes ne prenne son courage à deux mains pour alerter la police. Leur procès s’ouvre le 26 janvier au Nigéria et d’ores et déjà, il est sûr qu’on assistera à une séance judiciaire torrides puisque les deux (2) inculpées ont fait des aveux complets en citant les noms de toutes leurs victimes ainsi que les montants encaissés après chantage.
Autres articles
-
Médias : les membres de la commission d’examen et de validation des entreprises de presse installés
-
Xénophobie et droits des migrants : des experts réunis à Dakar dressent une feuille de route pour l’inclusion et la dignité en Afrique
-
Mamadou Moustapha BA «Bosquier», l’esthète des finances publiques et du foot (Par Mamadou Thierno TALLA)
-
Suspension des exportations d'arachides : les agriculteurs du bassin arachidier s'opposent à la décision
-
Victoire de Donald Trump : les Sénégalais craignent pour leur compatriotes sans papiers établis aux USA