Le coordonnateur du programme Maladies tropicales négligées (MTN) au sein de l’organisation »Speak up Africa » a invité, lundi, à Dakar, les pouvoirs publics à soutenir davantage le programme national de lutte contre ce groupe d’affections, en vue d’assurer la pérennité des campagnes de distribution de médicaments lesquelles sont coûteuses mais utiles pour arriver à les éliminer.
« Chaque année, il y a des campagnes de distribution de médicaments dans les régions qui coûtent très chères. Il faudrait que cela puisse être soutenu par les partenaires et l’Etat. On veut que l’Etat s’engage davantage et que les partenaires apportent plus de financements pour qu’on puisse faire les campagnes chaque année, aider les populations surtout dans les zones comme Ziguinchor, Kédougou, Tamba et les régions du centre », en vue d’aller vers l’élimination des maladies tropicales négligées, a plaidé M. Touré.
Selon le coordonnateur du programme MTN de Speak up Africa, rapporte l'Aps, en plus des régions précédemment citées, celle de Matam est également fortement touchée par les maladies tropicales négligées. Pour ne pas rater le rendez-vous de l’élimination de ces maladies à l’horizon 2030, note-t-il, « l’Etat doit mobiliser les financements ainsi que les partenaires, afin d’aider le programme, parce que ces maladies sont sous-financées, ce qui constitue un problème pour leur élimination », a t-il indiqué.
Le président de l’association sénégalaise de lutte contre la lèpre et les MTN, Pape Mamadou Diagne, a rappelé que le Sénégal enregistre à peu près 200 nouveau cas de lèpre par an, dont les 20% sont des enfants. D’où l’importance de mettre en place des stratégies de sensibilisation et de communication, dit-il.
Selon l’OMS, les maladies tropicales négligées (MTN) constituent un groupe diversifié d’affections qui sévissent principalement dans les populations pauvres. Elles sont dues à différents agents pathogènes (virus, bactéries, parasites, champignons ou toxines) et ont des conséquences sanitaires, sociales et économiques jugées dévastatrices.
« Chaque année, il y a des campagnes de distribution de médicaments dans les régions qui coûtent très chères. Il faudrait que cela puisse être soutenu par les partenaires et l’Etat. On veut que l’Etat s’engage davantage et que les partenaires apportent plus de financements pour qu’on puisse faire les campagnes chaque année, aider les populations surtout dans les zones comme Ziguinchor, Kédougou, Tamba et les régions du centre », en vue d’aller vers l’élimination des maladies tropicales négligées, a plaidé M. Touré.
Selon le coordonnateur du programme MTN de Speak up Africa, rapporte l'Aps, en plus des régions précédemment citées, celle de Matam est également fortement touchée par les maladies tropicales négligées. Pour ne pas rater le rendez-vous de l’élimination de ces maladies à l’horizon 2030, note-t-il, « l’Etat doit mobiliser les financements ainsi que les partenaires, afin d’aider le programme, parce que ces maladies sont sous-financées, ce qui constitue un problème pour leur élimination », a t-il indiqué.
Le président de l’association sénégalaise de lutte contre la lèpre et les MTN, Pape Mamadou Diagne, a rappelé que le Sénégal enregistre à peu près 200 nouveau cas de lèpre par an, dont les 20% sont des enfants. D’où l’importance de mettre en place des stratégies de sensibilisation et de communication, dit-il.
Selon l’OMS, les maladies tropicales négligées (MTN) constituent un groupe diversifié d’affections qui sévissent principalement dans les populations pauvres. Elles sont dues à différents agents pathogènes (virus, bactéries, parasites, champignons ou toxines) et ont des conséquences sanitaires, sociales et économiques jugées dévastatrices.
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