Le Sénégal s’achemine t-il vers une banqueroute ? La question s’impose si l’on s’en tient aux propos du nouveau ministre délégué, chargé du budget. A la question de savoir si le nouveau gouvernement a hérité de « caisses vides », le ministre du budget de lancer : « évidemment et le président sortant l’avait même dit ». Abdoulaye Daouda Diallo qui venait de sortir fraîchement du premier conseil des ministres de l’équipe dirigée par le Premier ministre Abdoul Mbaye, de préciser : « Bon, en tant que budget, caisses vides ça n’a pas trop de sens, c’est quelque chose d’assez élastique. Ce qui est constant c’est que nous avons trouvé des dépenses qui ont dépassé les recettes. »
Une situation qui fait dire à Mbaye Ndiaye, ministre de l’Intérieur que : « le Sénégal s’est retrouvé dans une situation économique extrêmement grave, nécessitant un sursaut national ». A l’en croire, « des éclairages du président de la République, du Premier ministre, du ministre de l’Economie et des Finances et des autres (ndlr : les ministres), nous apprenons que le Sénégal est dans une situation extrêmement grave ». Avant d’avertir : « le cadrage macroéconomique du Sénégal fait peur. Il faut que tous les Sénégalais le sachent, les mouvements sociaux surtout ». Et d’ajouter : « Cette situation nécessite un effort national, une prise de conscience globale et un sursaut national, pour que chacun y mette du sien ».
Dépêche - Sud Quotidien
Dépêche - Sud
Une situation qui fait dire à Mbaye Ndiaye, ministre de l’Intérieur que : « le Sénégal s’est retrouvé dans une situation économique extrêmement grave, nécessitant un sursaut national ». A l’en croire, « des éclairages du président de la République, du Premier ministre, du ministre de l’Economie et des Finances et des autres (ndlr : les ministres), nous apprenons que le Sénégal est dans une situation extrêmement grave ». Avant d’avertir : « le cadrage macroéconomique du Sénégal fait peur. Il faut que tous les Sénégalais le sachent, les mouvements sociaux surtout ». Et d’ajouter : « Cette situation nécessite un effort national, une prise de conscience globale et un sursaut national, pour que chacun y mette du sien ».
Dépêche - Sud Quotidien
Dépêche - Sud
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)