L'École polytechnique de Thiès a accueilli, ce mardi 10 décembre, le lancement de l'Académie solaire, sous l'égide du ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (MESRI), Dr Abdourahmane Diouf. Selon le ministre, cette institution contribuera au développement des certifications professionnelles dans le domaine de l'énergie solaire, en ligne avec la politique du Sénégal en matière de mix énergétique solaire pour lutter contre le réchauffement climatique.
L'objectif principal de cette académie est de former des étudiants aux compétences pratiques nécessaires à la transition énergétique. "L'académie proposera des enseignements et des formations professionnelles de qualité sur le développement de l'énergie solaire, via des cours en présentiel et une plateforme d'apprentissage en ligne. Elle participera au développement de certifications professionnelles dans ce domaine et au renforcement des compétences dans toutes les technologies solaires et les enjeux de déploiement", a expliqué Dr Abdourahmane Diouf.
Cette académie solaire s'inscrit dans le cadre de l'Alliance solaire internationale, en coopération avec le gouvernement français. Elle vise principalement à structurer un réseau international de centres de ressources sur les technologies et applications solaires (Star-C). Paul Butin, chargé du projet Star-C, a précisé : "l'idée est de mettre en place des centres de formation sur l'énergie solaire à travers le monde, en Amérique du Sud, en Afrique et dans la région Asie-Pacifique."
"L'Académie solaire est un exemple concret de ce que nous pouvons accomplir lorsque nous unissons nos forces autour d'un objectif commun", a souligné le Pr Diouma Kobor, qui a également salué les efforts de l'Alliance solaire internationale (ASI), de l'ONUDI et du gouvernement français, dont l'engagement constant a permis la réalisation de ce projet.
Selon Dr Abdourahmane Diouf, la transition énergétique vise à augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique national à 40%.
Enfin, le Pr Kobor a rappelé que l'ASI a été lancée en 2015 lors de la COP21 à Paris, par l'Inde et la France. Et le but était de promouvoir l'énergie solaire comme une source d'énergie propre, abordable et accessible, en particulier pour les pays situés entre les tropiques, où l'ensoleillement est abondant. Selon lui, cette initiative vise également à rassembler les pays partageant un potentiel d'énergie solaire, pour encourager l'adoption de solutions solaires, réduire la dépendance aux énergies fossiles et atteindre les objectifs climatiques internationaux. Le choix du Sénégal par l'ASI a été également salué par le Pr Diouma Kobor.
L'objectif principal de cette académie est de former des étudiants aux compétences pratiques nécessaires à la transition énergétique. "L'académie proposera des enseignements et des formations professionnelles de qualité sur le développement de l'énergie solaire, via des cours en présentiel et une plateforme d'apprentissage en ligne. Elle participera au développement de certifications professionnelles dans ce domaine et au renforcement des compétences dans toutes les technologies solaires et les enjeux de déploiement", a expliqué Dr Abdourahmane Diouf.
Cette académie solaire s'inscrit dans le cadre de l'Alliance solaire internationale, en coopération avec le gouvernement français. Elle vise principalement à structurer un réseau international de centres de ressources sur les technologies et applications solaires (Star-C). Paul Butin, chargé du projet Star-C, a précisé : "l'idée est de mettre en place des centres de formation sur l'énergie solaire à travers le monde, en Amérique du Sud, en Afrique et dans la région Asie-Pacifique."
"L'Académie solaire est un exemple concret de ce que nous pouvons accomplir lorsque nous unissons nos forces autour d'un objectif commun", a souligné le Pr Diouma Kobor, qui a également salué les efforts de l'Alliance solaire internationale (ASI), de l'ONUDI et du gouvernement français, dont l'engagement constant a permis la réalisation de ce projet.
Selon Dr Abdourahmane Diouf, la transition énergétique vise à augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique national à 40%.
Enfin, le Pr Kobor a rappelé que l'ASI a été lancée en 2015 lors de la COP21 à Paris, par l'Inde et la France. Et le but était de promouvoir l'énergie solaire comme une source d'énergie propre, abordable et accessible, en particulier pour les pays situés entre les tropiques, où l'ensoleillement est abondant. Selon lui, cette initiative vise également à rassembler les pays partageant un potentiel d'énergie solaire, pour encourager l'adoption de solutions solaires, réduire la dépendance aux énergies fossiles et atteindre les objectifs climatiques internationaux. Le choix du Sénégal par l'ASI a été également salué par le Pr Diouma Kobor.
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