Sept chefs d'Etats étaient réunis à Luanda, la capitale angolaise, pour le sommet de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) qui s'est achevé ce 24 avril. Parmi eux notamment, Joseph Kabila, le président de la République démocratique du Congo (RDC), avait fait le déplacement.
La situation politique et sécuritaire dans son pays était justement l'un des principaux sujets du sommet, tout comme celle du Lesotho et de Madagascar. Président en exercice de la SADC, le chef d'Etat sud-africain, Cyril Ramaphosa, s'est félicité lors de la séance d'ouverture que cette région d'Afrique démontre sa stabilité, en dehors de ces trois pays.
Dans son communiqué final, la SADC appelle au calme et à la retenue à Madagascar. Les chefs d'Etat ont décidé de dépêcher « de toute urgence » l'envoyé spécial et ex-président du Mozambique Joaquim Chissano faciliter un dialogue national visant notamment à « dégager un consensus autour du processus électoral ». Dans ce dossier, la SADC compte par ailleurs prendre contact avec les Nations unies et l'Union africaine pour rechercher une approche commune.
La situation politique et sécuritaire dans son pays était justement l'un des principaux sujets du sommet, tout comme celle du Lesotho et de Madagascar. Président en exercice de la SADC, le chef d'Etat sud-africain, Cyril Ramaphosa, s'est félicité lors de la séance d'ouverture que cette région d'Afrique démontre sa stabilité, en dehors de ces trois pays.
Dans son communiqué final, la SADC appelle au calme et à la retenue à Madagascar. Les chefs d'Etat ont décidé de dépêcher « de toute urgence » l'envoyé spécial et ex-président du Mozambique Joaquim Chissano faciliter un dialogue national visant notamment à « dégager un consensus autour du processus électoral ». Dans ce dossier, la SADC compte par ailleurs prendre contact avec les Nations unies et l'Union africaine pour rechercher une approche commune.
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