Pierre Nkurunziza, le président burundais, le 19 septembre 2011. REUTERS/Stringer
Depuis jeudi, Pierre Nkurunziza avait pratiquement troqué son costume de président pour celui de prédicateur. La première dame du pays, la révérende pasteur Denise Bucumi, chrétienne évangéliste comme lui, n’a pas été en reste, tout comme leurs enfants qui appartiennent à une chorale qui n’a pas hésité à faire le spectacle.
Car il y avait foule dans le stade flambant neuf de Rumonge, dans le sud du Burundi, qui appartient à une équipe de football encadrée par le président lui-même. Des milliers de paysans sont venus écouter chaque jour le couple présidentiel, ainsi que de nombreux autres prédicateurs, rendre grâce à Dieu pour les trois années que Pierre Nkurunziza vient de passer à la tête de l’Etat burundais depuis sa réélection, et pour « les nombreuses bénédictions accordées au Burundi durant tout ce temps ».
Mais c'est surtout les hauts responsables de ce pays qu'on a remarqués. Qu’ils soient catholiques, protestants ou musulmans, tous ou presque étaient présents, la bible à la main, et semblaient animés d’une grande ferveur. L’opposition burundaise a en revanche été la grande absente. Très critique depuis des années, elle est restée bien silencieuse cette fois.
Source : Rfi.fr
Car il y avait foule dans le stade flambant neuf de Rumonge, dans le sud du Burundi, qui appartient à une équipe de football encadrée par le président lui-même. Des milliers de paysans sont venus écouter chaque jour le couple présidentiel, ainsi que de nombreux autres prédicateurs, rendre grâce à Dieu pour les trois années que Pierre Nkurunziza vient de passer à la tête de l’Etat burundais depuis sa réélection, et pour « les nombreuses bénédictions accordées au Burundi durant tout ce temps ».
Mais c'est surtout les hauts responsables de ce pays qu'on a remarqués. Qu’ils soient catholiques, protestants ou musulmans, tous ou presque étaient présents, la bible à la main, et semblaient animés d’une grande ferveur. L’opposition burundaise a en revanche été la grande absente. Très critique depuis des années, elle est restée bien silencieuse cette fois.
Source : Rfi.fr
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