« Dès le 23 janvier, nous allons organiser une grande manifestation dans la banlieue de Dakar, à Guédiawaye plus précisément pour imposer au président (Wade) le retrait de sa candidature », a annoncé Alioune Tine, coordonnateur du M-23, au cours d’un point de presse, mardi à Dakar.
« Tous les leaders sans exception ont réaffirmé le combat de continuer la lutte jusqu’au bout. C’est un tournant décisif », a insisté M. Tine. Pour ça sera « l’assaut final contre la candidature de Me Wade ».
Selon toujours le coordonnateur du M-23, ce sera une première mobilisation dans la banlieue. « Des caravanes vont circuler à travers Pikine et Guédiawaye, parce que c’est la première fois que nous organisions dans la banlieue. Ces mêmes caravanes vont sillonner les villes de l’intérieur et jusqu’aux villages pour sensibiliser sur cette manifestation », a-t-il expliqué.
Selon les responsables du mouvement du 23 juin, cette série de manifestation va se poursuivre un peu partout dans le pays jusqu’au 29 janvier prochain, date à laquelle le Conseil constitutionnel doit publier les candidatures à la présidentielle du 26 février prochain.
« Il n’y aura pas de répit jusqu’à cette date très attendue et si d’aventure, les juges constitutionnels vont valider la candidature, nous allons le considérer comme un coup d’Etat constitutionnel », a souligné, ferme, le coordonnateur du M-23.
Devant la presse, Alioune Tine a mis en garde les membres de la juridiction. « Le Conseil constitutionnel et le président Wade doivent réfléchir sur le précédent ivoirien », a averti M. Tine faisant allusion à la crise politico-judiciaire qui a sévi en Côte d’Ivoire avant la chute du président Laurent Gbagbo.
Au Sénégal, la candidature de Me Wade est l’objet d’une vive controverse entre la majorité présidentielle, qui la soutient sans réserve, et l’opposition et la société civile réunies au sein du M-23, qui la combattent vivement.
Le M-23 avait contraint, le 23 juin 2011, le président Abdoulaye Wade à retirer un projet de loi de modification de la constitution, par voie parlementaire, pour instaurer un ticket, vice-président et président de la République, et ce dernier serait éligible avec 25% des suffrages exprimés.
« Tous les leaders sans exception ont réaffirmé le combat de continuer la lutte jusqu’au bout. C’est un tournant décisif », a insisté M. Tine. Pour ça sera « l’assaut final contre la candidature de Me Wade ».
Selon toujours le coordonnateur du M-23, ce sera une première mobilisation dans la banlieue. « Des caravanes vont circuler à travers Pikine et Guédiawaye, parce que c’est la première fois que nous organisions dans la banlieue. Ces mêmes caravanes vont sillonner les villes de l’intérieur et jusqu’aux villages pour sensibiliser sur cette manifestation », a-t-il expliqué.
Selon les responsables du mouvement du 23 juin, cette série de manifestation va se poursuivre un peu partout dans le pays jusqu’au 29 janvier prochain, date à laquelle le Conseil constitutionnel doit publier les candidatures à la présidentielle du 26 février prochain.
« Il n’y aura pas de répit jusqu’à cette date très attendue et si d’aventure, les juges constitutionnels vont valider la candidature, nous allons le considérer comme un coup d’Etat constitutionnel », a souligné, ferme, le coordonnateur du M-23.
Devant la presse, Alioune Tine a mis en garde les membres de la juridiction. « Le Conseil constitutionnel et le président Wade doivent réfléchir sur le précédent ivoirien », a averti M. Tine faisant allusion à la crise politico-judiciaire qui a sévi en Côte d’Ivoire avant la chute du président Laurent Gbagbo.
Au Sénégal, la candidature de Me Wade est l’objet d’une vive controverse entre la majorité présidentielle, qui la soutient sans réserve, et l’opposition et la société civile réunies au sein du M-23, qui la combattent vivement.
Le M-23 avait contraint, le 23 juin 2011, le président Abdoulaye Wade à retirer un projet de loi de modification de la constitution, par voie parlementaire, pour instaurer un ticket, vice-président et président de la République, et ce dernier serait éligible avec 25% des suffrages exprimés.
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