Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne Mame Mbaye Niang a présidé hier dans l’après midi, à Dakar la cérémonie d’ouverture de la semaine départementale de la jeunesse de Dakar. Mame Mbaye Niang a saisi l’occasion pour inviter la presse à participer à la formation à la citoyenneté. Il a cité en exemple Youssou Ndour et l’ancienne magistrate Maïmouna Ndongo, par ailleurs marraine de l’événement en exemple à la jeunesse. Le ministre a aussi interpellé la presse sénégalaise à qui, il a demandé de bien vouloir apporter sa partition à la formation de la jeunesse du pays. « Je vous invite à entreprendre des actions citoyennes pour apporter votre pierre à la construction de notre pays. Je demander à la presse de participer à la formation à la citoyenneté de la jeunesse. Le discours de la marraine est d’une importance qu’il mérite d’être diffusé et largement diffusé», a convié le ministre.
Maïmouna Ndongo a aussi lançait un appel à la jeunesse : « La nationalité confère la citoyenneté qu’on partage avec tous les sénégalais. Mais quel type de citoyen avons nous besoin, pour réaliser notre objectif de mener le Sénégal à l’émergence. Jeunes du département de Dakar vous m’avez fait l’honneur de porter votre choix sur ma personne pour être la marraine de la semaine. Ce choix traduit votre attachement a nos valeurs traditionnelles qui a une place de choix aux anciens et aux aînés ».
En effet dans son allocution, la marraine Madame Maïmouna Ndongo, magistrate à la retraite, servi une belle leçon à la jeunesse sénégalaise : « A chaque génération, à chaque époque, nous luttons plus contre le colonialisme pour l’indépendance du Sénégal. Votre combat notre combat c’est contre la défloration et la dégradation de nos terre, l’accaparement de nos richesses afin d’avoir un développement durable au Sénégal ».
Pour se faire, elle invite les Sénégalais à changer de mentalité. « Il faut un éveille de conscience en changeant de mentalité et de comportements, indispensable pour relever de nouveaux défis et être de bon citoyen. On ne naît pas bon citoyen, on devient bon citoyen. Et ceci, passe par une éducation à la citoyenneté. L’éducation commence dès le bas âge, et relève tout d’abord de la responsabilité des parents, chargé d’inculquer à nos enfants, le respect digne aux parents, aux aînés, aux enseignants, mais aussi le respect de la nation. Avoir droit à un environnement sein. Créer chez le bon citoyen, le devoir de lutter contre la défloration et la dégradation de son environnement. De cultiver l’esprit de solidarité et d’entre aide en s’engageant dans les travaux d’intérêt général ».
Pour l’ancien ministre, Maïmouna Ndongo, « l’éducation à la citoyenneté repose sur le respect de nos valeurs. Nos valeurs qui on pour nom, ‘’le diom’’, le refus de la honte, le refus d’être déshonoré, on préfère la mort que d’être tué. Et c’est de là, est venue la devis de notre armée nationale. On nous tue, mais on ne nous déshonore pas », rappelle Mme Ndongo. Pour qui cela est une question de l’unité qui convoque notre valeur.
Apres la marraine, c’était au tour du parrain Youssou Ndour de s’adresser aux jeunes de Dakar. Dans son discours, le chanteur a appelé au retour aux valeurs. Pour y arriver, il conseille la citoyenneté et la croyance en soi.
Maïmouna Ndongo a aussi lançait un appel à la jeunesse : « La nationalité confère la citoyenneté qu’on partage avec tous les sénégalais. Mais quel type de citoyen avons nous besoin, pour réaliser notre objectif de mener le Sénégal à l’émergence. Jeunes du département de Dakar vous m’avez fait l’honneur de porter votre choix sur ma personne pour être la marraine de la semaine. Ce choix traduit votre attachement a nos valeurs traditionnelles qui a une place de choix aux anciens et aux aînés ».
En effet dans son allocution, la marraine Madame Maïmouna Ndongo, magistrate à la retraite, servi une belle leçon à la jeunesse sénégalaise : « A chaque génération, à chaque époque, nous luttons plus contre le colonialisme pour l’indépendance du Sénégal. Votre combat notre combat c’est contre la défloration et la dégradation de nos terre, l’accaparement de nos richesses afin d’avoir un développement durable au Sénégal ».
Pour se faire, elle invite les Sénégalais à changer de mentalité. « Il faut un éveille de conscience en changeant de mentalité et de comportements, indispensable pour relever de nouveaux défis et être de bon citoyen. On ne naît pas bon citoyen, on devient bon citoyen. Et ceci, passe par une éducation à la citoyenneté. L’éducation commence dès le bas âge, et relève tout d’abord de la responsabilité des parents, chargé d’inculquer à nos enfants, le respect digne aux parents, aux aînés, aux enseignants, mais aussi le respect de la nation. Avoir droit à un environnement sein. Créer chez le bon citoyen, le devoir de lutter contre la défloration et la dégradation de son environnement. De cultiver l’esprit de solidarité et d’entre aide en s’engageant dans les travaux d’intérêt général ».
Pour l’ancien ministre, Maïmouna Ndongo, « l’éducation à la citoyenneté repose sur le respect de nos valeurs. Nos valeurs qui on pour nom, ‘’le diom’’, le refus de la honte, le refus d’être déshonoré, on préfère la mort que d’être tué. Et c’est de là, est venue la devis de notre armée nationale. On nous tue, mais on ne nous déshonore pas », rappelle Mme Ndongo. Pour qui cela est une question de l’unité qui convoque notre valeur.
Apres la marraine, c’était au tour du parrain Youssou Ndour de s’adresser aux jeunes de Dakar. Dans son discours, le chanteur a appelé au retour aux valeurs. Pour y arriver, il conseille la citoyenneté et la croyance en soi.
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