Le document est signé par Aboubacry MBODJ de la Rencontre Africaine des Droits de l’Homme (RADDHO), Me Assane Dioma Ndiaye de la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), Seydi Gassama de la Section sénégalaise d’Amnesty international et Fatou Jagne d’Article 19, Afrique de l’Ouest. Ce, pour signifier qu’ils ne sont pas du tout contents de ce qui se passent actuellement au Sénégal : « la violence notée un peu partout ». En effet, RADDHO, L.S.D.H.), Amnesty International section Sénégal et l’ONG ARTICLE 19 Afrique de l’Ouest condamnent fermement les cas de violence notés dernièrement un peu partout à travers le Sénégal.
« Nos organisations appellent à la retenue de part et d’autre et à la référence exclusive au cadre légal et institutionnel. Nos organisations rappellent qu’il ne saurait avoir de justification à la violence et l’intimidation dans un Etat de droit encore moins la permission d’une justice privée et des interdictions et arrestations abusives », décline le communiqué parvenu à Pressafrik.com qui ne manque pas de se prononcer sur l’affaire dite Malal Talla. « Nos organisations regrettent la judiciarisation de l’affaire Malal TALLA dit Fou Malade. Ce dernier, dans le cadre d’une rencontre publique a exprimé ses préoccupations vis-à-vis de la corruption au sein des forces de Police. A la suite de cette rencontre, il a été interpellé et garder à vue. En effet, les propos incriminés étant tenus dans le cadre d’un débat public auraient pu être contredits et combattus par les autorités de la Police partie prenantes à ce débat qui avaient au demeurant toute la possibilité de répondre directement, et de réaffirmer la volonté de la hiérarchie de combattre et de réprimer toutes formes de corruption et de déviances au sein des forces de Police », chargent Aboubacry MBODJ et Cie qui lancent :
« Ces propos, ont été tenus par un militant de la Société Civile dans le souci d’apporter des suggestions sur la meilleure manière de protéger la jeunesse et de lutter contre le trafic de drogue » alors que selon eux, « d’autres cas de violences répétées sont des signes dangereux qui doivent être exclut de la scène politique. La récente affaire Moustapha Cissé LO à Touba, les attaques contre des journalistes à Rufisque sont préoccupantes et ne doivent pas rester impunies ».
« Nos organisations appellent à la retenue de part et d’autre et à la référence exclusive au cadre légal et institutionnel. Nos organisations rappellent qu’il ne saurait avoir de justification à la violence et l’intimidation dans un Etat de droit encore moins la permission d’une justice privée et des interdictions et arrestations abusives », décline le communiqué parvenu à Pressafrik.com qui ne manque pas de se prononcer sur l’affaire dite Malal Talla. « Nos organisations regrettent la judiciarisation de l’affaire Malal TALLA dit Fou Malade. Ce dernier, dans le cadre d’une rencontre publique a exprimé ses préoccupations vis-à-vis de la corruption au sein des forces de Police. A la suite de cette rencontre, il a été interpellé et garder à vue. En effet, les propos incriminés étant tenus dans le cadre d’un débat public auraient pu être contredits et combattus par les autorités de la Police partie prenantes à ce débat qui avaient au demeurant toute la possibilité de répondre directement, et de réaffirmer la volonté de la hiérarchie de combattre et de réprimer toutes formes de corruption et de déviances au sein des forces de Police », chargent Aboubacry MBODJ et Cie qui lancent :
« Ces propos, ont été tenus par un militant de la Société Civile dans le souci d’apporter des suggestions sur la meilleure manière de protéger la jeunesse et de lutter contre le trafic de drogue » alors que selon eux, « d’autres cas de violences répétées sont des signes dangereux qui doivent être exclut de la scène politique. La récente affaire Moustapha Cissé LO à Touba, les attaques contre des journalistes à Rufisque sont préoccupantes et ne doivent pas rester impunies ».
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