Le Syndicat des inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale du Sénégal (Siens) s’inquiète davantage de l’avenir que réserve l’Etat du Sénégal à l’école sénégalaise. Ces spécialistes de l’éducation réclament des considérations «techniques et non politiques» pour réussir «une bonne gestion de l’école sénégalaise» a conseillé le Secrétaire général dudit syndicat dans la presse du jour. A cet effet, l’Etat doit «ouvrir une large concertation sur le projet de création des 100.000 emplois pour veiller à ce que ce projet ne soit pas un retour au quota sécuritaire, un modèle qui a plus obéi à des intérêts politiques qu’à une volonté réelle de développer le système éducatif…» a averti Samba Diakhaté.
Le Siens dénonce le ministre Kalidou Diallo « qui abuse de son pouvoir discrétionnaire en attribuant des postes à des gens qui ne le méritent pas ». L’incohérence est aussi dénoncée avec la création de la Direction de la petite enfance en plus de la Direction de l’éducation préscolaire et de l’Agence nationale de la petite enfance et de case des tout-petits.
Les inspecteurs qui ne manquent pas de dénoncer leurs conditions de travail et le retard dans leur classement, en font de même sur le manque de vision dans la transition CM2-6e.
Le Siens dénonce le ministre Kalidou Diallo « qui abuse de son pouvoir discrétionnaire en attribuant des postes à des gens qui ne le méritent pas ». L’incohérence est aussi dénoncée avec la création de la Direction de la petite enfance en plus de la Direction de l’éducation préscolaire et de l’Agence nationale de la petite enfance et de case des tout-petits.
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