Ibrahima Diao, directeur du Crous, donne les raisons de la présence des forces de l’ordre « nous avons décidé de mettre fin à ces pratiques désastreuses, par la mise en place de dispositifs aptes à rétablir l’ordre social. Ces forces légitimes auront pour mission non pas de réprimer ou violenter, mais simplement de ramener la normalité, avant d’inviter les étudiants « à se munir de leurs tickets pour accéder aux restaurants, et à s’acquitter des loyers mensuels ».
A en croire Mr DIAO, « L’entêtement de la Commission sociale des étudiants à réclamer la satisfaction immédiate de revendications improvisées, a fini d’installer un climat délétère au campus sociale de l’université Gaston Berger. Pourtant dans un souci d’apaisement, la direction du CROUS a entamé une série de discussions avec les responsables de la Commission sociale sont restés inflexibles sur leur position. », a révélé, Ibrahima DIAO, le directeur du Centres Régional des Œuvres Universitaires de Saint-Louis (Crous) dans un communiqué de presse.
De l’avis de Diao, « L’installation des modules visibles par tous, se poursuit normalement pour bientôt livrer les premiers lits. Les 2000 matelas, les 4 bus ainsi que le financement de la quinzaine de l’hygiène non budgétisés pour l’année 2016, pourront néanmoins être satisfaits grâce à l’engagement des autorités sensibles aux conditions des étudiants. Mais il faut du temps pour mettre en place ces moyens non encore disponibles », a-t-il dit, en s’interrogeant : « Cette évolution ne doit-elle pas engendrer un assouplissement qui réinstaure confiance et sérénité ? ». Mais que nenni, « Malheureusement, nos interlocuteurs arc-boutés sur leurs exagérations, maintiennent les journées sans tickets devenues intolérables, en y ajoutant le refus de payer les chambres », déplore-t-il.
Ibrahima Diao appelle ainsi les étudiants à plus de responsabilité « face à cette situation préjudiciable au fonctionnement correct des services, nous en appelons au sens de la responsabilité des étudiants réalistes et consciencieux, pour refuser l’irresponsabilité source potentielle de tensions inutiles et de perturbations académiques regrettables », précise Mr Diao.
A en croire Mr DIAO, « L’entêtement de la Commission sociale des étudiants à réclamer la satisfaction immédiate de revendications improvisées, a fini d’installer un climat délétère au campus sociale de l’université Gaston Berger. Pourtant dans un souci d’apaisement, la direction du CROUS a entamé une série de discussions avec les responsables de la Commission sociale sont restés inflexibles sur leur position. », a révélé, Ibrahima DIAO, le directeur du Centres Régional des Œuvres Universitaires de Saint-Louis (Crous) dans un communiqué de presse.
De l’avis de Diao, « L’installation des modules visibles par tous, se poursuit normalement pour bientôt livrer les premiers lits. Les 2000 matelas, les 4 bus ainsi que le financement de la quinzaine de l’hygiène non budgétisés pour l’année 2016, pourront néanmoins être satisfaits grâce à l’engagement des autorités sensibles aux conditions des étudiants. Mais il faut du temps pour mettre en place ces moyens non encore disponibles », a-t-il dit, en s’interrogeant : « Cette évolution ne doit-elle pas engendrer un assouplissement qui réinstaure confiance et sérénité ? ». Mais que nenni, « Malheureusement, nos interlocuteurs arc-boutés sur leurs exagérations, maintiennent les journées sans tickets devenues intolérables, en y ajoutant le refus de payer les chambres », déplore-t-il.
Ibrahima Diao appelle ainsi les étudiants à plus de responsabilité « face à cette situation préjudiciable au fonctionnement correct des services, nous en appelons au sens de la responsabilité des étudiants réalistes et consciencieux, pour refuser l’irresponsabilité source potentielle de tensions inutiles et de perturbations académiques regrettables », précise Mr Diao.
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