C’est l’exigence de la Convergence des Jeunes Républicains (COJER) qui arme le président du groupe parlementaire de la majorité, Benno Bokk Yaakaar (BBY) dans sa volonté d’auditionner le président sortant Wade, l’ancien ministre des Forces armées sous son magistère, Békaye Diop ainsi que l’auteur du brûlot, le Colonel Ndaw et l’accusé le Général Fall. 24 heures après le communiqué de Moustapha Diakhaté, Abdou Mbow et Cie se signalent. Ce, pour abonder dans le même sens que leur camarade de parti.
Les jeunes apéristes exigent, « pour la paix civile et la réconciliation des cœurs et des esprits, l’audition des personnalités citées dans le livre du Colonel Abdoulaye Aziz N'daw », ouvrage qui selon eux, « fait l’objet de controverses publiques préjudiciables à l’unité nationale» et «émaillé de révélations, d’accusations et d’imputations graves qui mettent en cause l’ancien Président Abdoulaye Wade et d’anciennes personnalités de son régime. Ils y sont cités dans une série de faits et d’actes graves qui portent atteinte à l’intégrité du territoire, à la justice et aux droits de l’homme, sur fond de prédation et de dilapidation des finances publiques ».
Forts de ce fait et « pour le triomphe de la vérité », la COJER, en « défenseur de la République et bouclier de ses Institutions », exige qu’Abdoulaye Wade réponde de ses actes, parce que les faits graves qui lui sont imputés sont une violation du serment républicain qu’il avait prêté devant le peuple sénégalais. Or, le Sénégal qu’il a eu à diriger est un Etat de droit où la pratique du pouvoir politique doit s’exercer dans un esprit de service et non d’intérêts privés excessifs, unilatéraux et illégaux. Ceux qui y exercent des responsabilités politiques ont donc des obligations de rendre compte ».
Les jeunes apéristes exigent, « pour la paix civile et la réconciliation des cœurs et des esprits, l’audition des personnalités citées dans le livre du Colonel Abdoulaye Aziz N'daw », ouvrage qui selon eux, « fait l’objet de controverses publiques préjudiciables à l’unité nationale» et «émaillé de révélations, d’accusations et d’imputations graves qui mettent en cause l’ancien Président Abdoulaye Wade et d’anciennes personnalités de son régime. Ils y sont cités dans une série de faits et d’actes graves qui portent atteinte à l’intégrité du territoire, à la justice et aux droits de l’homme, sur fond de prédation et de dilapidation des finances publiques ».
Forts de ce fait et « pour le triomphe de la vérité », la COJER, en « défenseur de la République et bouclier de ses Institutions », exige qu’Abdoulaye Wade réponde de ses actes, parce que les faits graves qui lui sont imputés sont une violation du serment républicain qu’il avait prêté devant le peuple sénégalais. Or, le Sénégal qu’il a eu à diriger est un Etat de droit où la pratique du pouvoir politique doit s’exercer dans un esprit de service et non d’intérêts privés excessifs, unilatéraux et illégaux. Ceux qui y exercent des responsabilités politiques ont donc des obligations de rendre compte ».
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