Le collectif « Gni am Ker Nginth » a dénoncé dimanche le forcing de l'Aprosi qui veut accaparer ses terres. Dénonçant un « forcing », ses membres demandent à l’Etat d’intervenir, car ces terres constituent leur bien le plus précieux. Pour le garder, ils se disent donc prêts à tout. C’est ainsi que Ibrahima Diédhiou, qui portait la voix du collectif, a dénoncé fermement les agissements de l’Aprosi. « Nous sommes en colère parce qu’on a vu c’est temps-ci des tentatives d’intimidation de la part de l’Aprosi parce que cette société veut accaparer nos terres à Diamniadio plus précisément à Nginth qui est un lotissement administratif qui a été attribué par la mairie de Diamniadio », ex- plique Ibrahima Diédhiou.
Prenant à témoin les journalistes, il déclare : « vous voyez, il y a beaucoup de maisons qui sont entrain d’être construite et même des familles qui se sont carré- ment installées. Nous disons à l’Aprosi d’arrêter ce qu’elle tente de faire parce qu’elle est entrain d’accaparer nos terres » met-il en garde. Pour les habitants Diamniadio, cette affaire est très importante car ils sont des pères de familles qui n’ont rien à part leurs terres. « Nous les avons eues dignement et nous sommes des pères de familles. Ce qu’ils sont entrain de faire n’est pas légal parce que le fait d’utiliser des moyens de l’Etat pour phagocyter nos terres montre qu’ils ne sont pas en règle », tacle Ibrahima Diédhiou dans les colonnes du journal Le Témoin.
A l’en croire, la demande d’ex- tension introduite par l'Aprosi a été rejetée par la mairie de Diamniadio. « Le président de la République M. Macky Sall avait dit il n’y a pas longtemps que les gens doivent cesser de vendre les terres de Diamniadio. L’Aprosi a bénéficié d’une superficie de 42 ha qu’elle a déjà utilisée et maintenant elle veut étendre ses terres. Nous disons non et nous ne céderons pas, ces terres c’est tout ce que nous avons », martèle encore Ibrahima Diédhiou. Et de faire dans la menace : « Ce que nous comptons faire s’ils continuent de vouloir accaparer nos terres, c’est de nous battre par tous les moyens car c’est ça que nous avons et nous allons défendre nos terres aux prix de nos vies », assènent les populations par la voix de leur porte-parole.
Pour le collectif « Gni am Keur Nguinth, « le président de la République dois demander à l’Aprosi d’arrêter l’accapare- ment de nos terres car c’est lui- même qui avait dit qu’on laisse le domaine national car il n’est pas à vendre et le domaine national c’est l’Etat et c’est nous aussi car un Etat ne peut pas aller sans ses populations. Donc l’Etat doit réagir car nous ne céderons pas », déclare encore Ibrahima Diédhiou. Il attire d’ailleurs l’attention sur l’incongruité de construire une usine à coté d’une université. Selon lui, « c’est un paradoxe car l’usine est construite près de l’université, de Dakar Aréna et j’en profite pour alerter le ministère de l’Environnement parce que c’est incompatible » a-t-il indiqué en conclusion.
Prenant à témoin les journalistes, il déclare : « vous voyez, il y a beaucoup de maisons qui sont entrain d’être construite et même des familles qui se sont carré- ment installées. Nous disons à l’Aprosi d’arrêter ce qu’elle tente de faire parce qu’elle est entrain d’accaparer nos terres » met-il en garde. Pour les habitants Diamniadio, cette affaire est très importante car ils sont des pères de familles qui n’ont rien à part leurs terres. « Nous les avons eues dignement et nous sommes des pères de familles. Ce qu’ils sont entrain de faire n’est pas légal parce que le fait d’utiliser des moyens de l’Etat pour phagocyter nos terres montre qu’ils ne sont pas en règle », tacle Ibrahima Diédhiou dans les colonnes du journal Le Témoin.
A l’en croire, la demande d’ex- tension introduite par l'Aprosi a été rejetée par la mairie de Diamniadio. « Le président de la République M. Macky Sall avait dit il n’y a pas longtemps que les gens doivent cesser de vendre les terres de Diamniadio. L’Aprosi a bénéficié d’une superficie de 42 ha qu’elle a déjà utilisée et maintenant elle veut étendre ses terres. Nous disons non et nous ne céderons pas, ces terres c’est tout ce que nous avons », martèle encore Ibrahima Diédhiou. Et de faire dans la menace : « Ce que nous comptons faire s’ils continuent de vouloir accaparer nos terres, c’est de nous battre par tous les moyens car c’est ça que nous avons et nous allons défendre nos terres aux prix de nos vies », assènent les populations par la voix de leur porte-parole.
Pour le collectif « Gni am Keur Nguinth, « le président de la République dois demander à l’Aprosi d’arrêter l’accapare- ment de nos terres car c’est lui- même qui avait dit qu’on laisse le domaine national car il n’est pas à vendre et le domaine national c’est l’Etat et c’est nous aussi car un Etat ne peut pas aller sans ses populations. Donc l’Etat doit réagir car nous ne céderons pas », déclare encore Ibrahima Diédhiou. Il attire d’ailleurs l’attention sur l’incongruité de construire une usine à coté d’une université. Selon lui, « c’est un paradoxe car l’usine est construite près de l’université, de Dakar Aréna et j’en profite pour alerter le ministère de l’Environnement parce que c’est incompatible » a-t-il indiqué en conclusion.
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