Des agresseurs ont dicté leur loi à un adjudant de police répondant au nom d'Ibrahima Loum, qui est en service au niveau de l'état-major de la Direction de la police de l'air et des frontières (Dpaf). Les faits se sont dé roulés dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 novembre dernier. A cette heure, narre "Les Echos", Ibrahima Loum était allé se dégourdir les jambes mais aussi profiter de la fraîcheur nocturne dans le quartier dénommé cité Sonatel de Malika.
Soudain, un groupe de jeunes déboulent d'une rue et envahissent la route principale. Des habitants du quartier devinent les intentions délictuelles des garçons et prennent leurs distances. Ces derniers repèrent l'adjudant de police en tenue civile et le placent dans leur ligne de mire. Ils font irruption devant lui et tentent de le dépouiller de ses biens. Ils l'attaquent en groupe, lui donnent des coups et s'emploient vaille que vaille à le détrousser ignorant qu'ils ont affaire à un! sous-officier. Celui-ci joue au dur à cuire, se débat comme un forcené et refuse catégoriquement de se faire détrousser.
Face à la témérité du flic, les malfaiteurs redoutent l'intervention surprise du voisinage. Ils ramassent une brique et lui en donnent un coup. Paniqués, ils se dispersent dans les ruelles mal éclairées de la localité. L'adjudant reçoit le projectile en pleine tête, s'écroule brusquement au sol et se retrouve dans un piteux état. Des habitants du quartier arrivent, identifient le policier et tentent de lui porter aide et assistance. Les membres de sa famille apprennent la sauvage agression, se rendent à toutes jambes sur les lieux et constatent la gravité de son état de santé.
Ils l'embarquent à bord d'un véhicule et l'acheminent! tout droit au centre national hospitalier de Pikine, situé dans le camp militaire des parachutistes de la commune de Thiaroye. Il serait dans un état de santé critique, même si son pronostic vital n'est pas engagé.
Soudain, un groupe de jeunes déboulent d'une rue et envahissent la route principale. Des habitants du quartier devinent les intentions délictuelles des garçons et prennent leurs distances. Ces derniers repèrent l'adjudant de police en tenue civile et le placent dans leur ligne de mire. Ils font irruption devant lui et tentent de le dépouiller de ses biens. Ils l'attaquent en groupe, lui donnent des coups et s'emploient vaille que vaille à le détrousser ignorant qu'ils ont affaire à un! sous-officier. Celui-ci joue au dur à cuire, se débat comme un forcené et refuse catégoriquement de se faire détrousser.
Face à la témérité du flic, les malfaiteurs redoutent l'intervention surprise du voisinage. Ils ramassent une brique et lui en donnent un coup. Paniqués, ils se dispersent dans les ruelles mal éclairées de la localité. L'adjudant reçoit le projectile en pleine tête, s'écroule brusquement au sol et se retrouve dans un piteux état. Des habitants du quartier arrivent, identifient le policier et tentent de lui porter aide et assistance. Les membres de sa famille apprennent la sauvage agression, se rendent à toutes jambes sur les lieux et constatent la gravité de son état de santé.
Ils l'embarquent à bord d'un véhicule et l'acheminent! tout droit au centre national hospitalier de Pikine, situé dans le camp militaire des parachutistes de la commune de Thiaroye. Il serait dans un état de santé critique, même si son pronostic vital n'est pas engagé.
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