Des soldats français en patrouille au sud de Tessalit, le 20 mars 2013. REUTERS/Francois Rihouay
Pour qualifier l’attaque jihadiste de ce mercredi contre les positions de l’armée tchadienne à Tessalit, une source militaire parle « d’attaque complexe ». En d’autres termes, les jihadistes ont minutieusement préparé l’opération.
D’après les informations obtenues par RFI, les assaillants ont d’abord infiltré la localité de Tessalit, se sont rapprochés par deux endroits différents des positions tchadiennes. Et outre l’intervention de kamikazes à l’aide de véhicules piégés, d’autres combattants islamistes ont attaqué, semble-t-il à la roquette, des soldats tchadiens.
Ce mercredi après-midi, la tension restait vive dans la localité de Tessalit où il est très difficile de joindre quelqu’un. Difficulté aussi pour établir un bilan de l’attaque qui aurait fait plusieurs morts du côté des militaires tchadiens, mais aussi du côté des civils et plusieurs blessés.
Source : Rfi.fr
D’après les informations obtenues par RFI, les assaillants ont d’abord infiltré la localité de Tessalit, se sont rapprochés par deux endroits différents des positions tchadiennes. Et outre l’intervention de kamikazes à l’aide de véhicules piégés, d’autres combattants islamistes ont attaqué, semble-t-il à la roquette, des soldats tchadiens.
Ce mercredi après-midi, la tension restait vive dans la localité de Tessalit où il est très difficile de joindre quelqu’un. Difficulté aussi pour établir un bilan de l’attaque qui aurait fait plusieurs morts du côté des militaires tchadiens, mais aussi du côté des civils et plusieurs blessés.
Source : Rfi.fr
Autres articles
-
Les cas de Mpox augmentent de plus de 500% en Afrique, touchant 19 pays (CDC Afrique)
-
Présidentielle américaine: les accusations de fraudes électorales mettent les assesseurs sous pression
-
Tchad: l'armée accusée d'avoir tué des dizaines de pêcheurs du Borno lors des représailles contre Boko Haram
-
Au Niger, des proches de Bazoum et des chefs rebelles inscrits dans un fichier sécuritaire
-
Crimes contre des journalistes: des cas toujours recensés au Mali et au Burkina Faso