Le comité exécutif des élèves de l’Ecole nationale des travailleurs sociaux spécialisés (ENTSS) ont tenu ce mardi un point de presse pour fustiger la fermeture de l’école. Les étudiants ont ainsi exigé le démarrage des enseignements.
« L’état des lieux aujourd’hui est le non démarrage des apprentissages qui est dû par plusieurs facteurs dont, principalement, le non paiement des factures, de la prestataire du restaurant entre autres... Depuis lors, nous avons eu à faire des démarches aussi bien au niveau du ministère de la Santé et de l’Action sociale mais aussi essayer de rencontrer les autorités de l’école pour résoudre la situation. Nous demandons que l’école soit fonctionnelle, que les apprentissages soient effectifs », a déclaré le président du comité exécutif des élèves de l’ENTSS, Moussa Diallo.
Qui poursuit : « l’année dernière, nous avons commencé les cours le 28 novembre, cette année ci on est le 30 janvier et on vient d’accuser deux mois de retard. Tout ceci aura des répercutions sur les étudiants de la première année et surtout ceux de la troisième année qui doivent soutenir leur mémoire. Nous avons des horaires et un calendrier scolaire à respecter ».
L’année précédente, précise M. Diallo, « nous avons eu à faire deux semaines de grève qui sont dues par un certain nombres de points qui n’ont toujours pas été soldés rappelant que l’Entss est une école nationale sous tutelle du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
A l’en croire, l’école dispose d’un service médico-social qui n’est toujours pas fonctionnel et équipé. Il faut que le ministère de la Santé mette les moyens nécessaires pour que l’école soit résiliente par rapport à toutes ces crises afin qu’elles soient soldées.
Cependant, dit-il « tous les problèmes liés à la plateforme revendicative (wifi, fonctionnement des services médico-sociaux, l’obtention d’un bus etc) ont été énumérés, lors du forum pour l’insertion professionnelle des jeunes travailleurs sociaux.
Le comité exécutif de l’Entss envisage de faire un « setting » devant le ministère de la Santé pour faire comprendre au ministre que les étudiants formés a niveau de l'école méritent un recrutement dans la fonction publique comme tous les autres qui réussissent les concours.
« L’état des lieux aujourd’hui est le non démarrage des apprentissages qui est dû par plusieurs facteurs dont, principalement, le non paiement des factures, de la prestataire du restaurant entre autres... Depuis lors, nous avons eu à faire des démarches aussi bien au niveau du ministère de la Santé et de l’Action sociale mais aussi essayer de rencontrer les autorités de l’école pour résoudre la situation. Nous demandons que l’école soit fonctionnelle, que les apprentissages soient effectifs », a déclaré le président du comité exécutif des élèves de l’ENTSS, Moussa Diallo.
Qui poursuit : « l’année dernière, nous avons commencé les cours le 28 novembre, cette année ci on est le 30 janvier et on vient d’accuser deux mois de retard. Tout ceci aura des répercutions sur les étudiants de la première année et surtout ceux de la troisième année qui doivent soutenir leur mémoire. Nous avons des horaires et un calendrier scolaire à respecter ».
L’année précédente, précise M. Diallo, « nous avons eu à faire deux semaines de grève qui sont dues par un certain nombres de points qui n’ont toujours pas été soldés rappelant que l’Entss est une école nationale sous tutelle du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
A l’en croire, l’école dispose d’un service médico-social qui n’est toujours pas fonctionnel et équipé. Il faut que le ministère de la Santé mette les moyens nécessaires pour que l’école soit résiliente par rapport à toutes ces crises afin qu’elles soient soldées.
Cependant, dit-il « tous les problèmes liés à la plateforme revendicative (wifi, fonctionnement des services médico-sociaux, l’obtention d’un bus etc) ont été énumérés, lors du forum pour l’insertion professionnelle des jeunes travailleurs sociaux.
Le comité exécutif de l’Entss envisage de faire un « setting » devant le ministère de la Santé pour faire comprendre au ministre que les étudiants formés a niveau de l'école méritent un recrutement dans la fonction publique comme tous les autres qui réussissent les concours.
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