Le président de l’amicale des policiers à la retraite n'y va pas par quatre chemins. Pour l'ancien brigadier chef Cheikhna Keita, les hommes politiques sont les commanditaires des meurtres et enlèvements d'enfants au Sénégal.
Sans citer nommément un parti ou un leader politique quelconque, L'actuel président de l'association des policiers à la retraite pense que l'avènement de la Présidentielle de 2019 est la cause de la recrudescence du phénomène des meurtres et enlèvements d'enfants.
"Ils disent craindre Dieu et son Prophète. Mais ensuite ils égorgent les enfants pour le pouvoir. C'est trop. Depuis 1960, c'est ce qui se passe à chaque élection. Mais cette fois ça dépasse les limites. Il faut qu'ils sachent que c'est Dieu qui donne le pouvoir", a pesté l'ancien policier Keita sur les ondes de la Rfm
Il enchaîne de manière plus directe : "Je ne cache pas ce que je dis. Avant la période préélectorale, on n'entendait pas des enlèvements et des meurtres d'enfants. Pour les accidents de circulation, c'est la même chose. On leur demande de sacrifier un nombre de vies et ils (les hommes politiques) jettent le mauvais sort sur les routes", révèle-t-il.
Sans citer nommément un parti ou un leader politique quelconque, L'actuel président de l'association des policiers à la retraite pense que l'avènement de la Présidentielle de 2019 est la cause de la recrudescence du phénomène des meurtres et enlèvements d'enfants.
"Ils disent craindre Dieu et son Prophète. Mais ensuite ils égorgent les enfants pour le pouvoir. C'est trop. Depuis 1960, c'est ce qui se passe à chaque élection. Mais cette fois ça dépasse les limites. Il faut qu'ils sachent que c'est Dieu qui donne le pouvoir", a pesté l'ancien policier Keita sur les ondes de la Rfm
Il enchaîne de manière plus directe : "Je ne cache pas ce que je dis. Avant la période préélectorale, on n'entendait pas des enlèvements et des meurtres d'enfants. Pour les accidents de circulation, c'est la même chose. On leur demande de sacrifier un nombre de vies et ils (les hommes politiques) jettent le mauvais sort sur les routes", révèle-t-il.
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24