Le Centre Africain de Complémentarité Scolaire, Universitaire et de Promotion, au vu des événements horribles qui se déroulent en Lybie et sur les berges de la Méditerranée, exprime toute « son indignation », et condamne « ces pratiques d’un autre âge ».
Animé de « principes humanistes et panafricanistes intangibles », le CACSUP se dit « révulsé par ce trafic d’êtres humains, spécialement de race noire vendus à de vils prix en ce début du XXIe siècle où tant de défis se dressent devant notre continent meurtri et violenté depuis des siècles, sommé de les résoudre, surtout à un moment où l’Afrique recherche une plus grande unité, au nom des idéaux des pères fondateurs et de ceux de la diaspora afro-américaine et afro-européenne ».
Dans sa déclaration parvenue à PressAfrik.com, le Centre s’adresse solennellement « d’abord, aux chefs d’Etat africains et à leurs gouvernements afin d’éradiquer définitivement ce phénomène abject et dégradant » ; ensuite à l’Union Africaine qui doit, selon ces propres termes, « s’autosaisir pour combattre le phénomène de l’esclavage aussi bien en Lybie que dans beaucoup d’autres pays africains où le phénomène perdure même s’il continue à être nié ».
Enfin, aux jeunes africains et à tous les peuples d’Afrique afin « d’arriver à conscientiser tous les Africains à propos de ce phénomène dont les responsables devraient être poursuivis, arrêtés et traduits devant la cour Pénale Internationale pour qu’ils soient châtiés ».
Le CACSUP lance également « un appel aux sociétés civiles africaines pour une réflexion globale sur l’immigration qui fait mourir par milliers notre chair vive. Plus de 40 000 jeunes africains sont morts noyés en Méditerranée cette année victimes des passeurs véritables marchands de morts qui n’hésitent pas à vendre les survivants ». Avant d’appeler l’Union Africaine, aux Nations Unies, à l’Union Européenne pour « une lutte globale au niveau international pour éradiquer définitivement ces pratiques dégradantes ».
Animé de « principes humanistes et panafricanistes intangibles », le CACSUP se dit « révulsé par ce trafic d’êtres humains, spécialement de race noire vendus à de vils prix en ce début du XXIe siècle où tant de défis se dressent devant notre continent meurtri et violenté depuis des siècles, sommé de les résoudre, surtout à un moment où l’Afrique recherche une plus grande unité, au nom des idéaux des pères fondateurs et de ceux de la diaspora afro-américaine et afro-européenne ».
Dans sa déclaration parvenue à PressAfrik.com, le Centre s’adresse solennellement « d’abord, aux chefs d’Etat africains et à leurs gouvernements afin d’éradiquer définitivement ce phénomène abject et dégradant » ; ensuite à l’Union Africaine qui doit, selon ces propres termes, « s’autosaisir pour combattre le phénomène de l’esclavage aussi bien en Lybie que dans beaucoup d’autres pays africains où le phénomène perdure même s’il continue à être nié ».
Enfin, aux jeunes africains et à tous les peuples d’Afrique afin « d’arriver à conscientiser tous les Africains à propos de ce phénomène dont les responsables devraient être poursuivis, arrêtés et traduits devant la cour Pénale Internationale pour qu’ils soient châtiés ».
Le CACSUP lance également « un appel aux sociétés civiles africaines pour une réflexion globale sur l’immigration qui fait mourir par milliers notre chair vive. Plus de 40 000 jeunes africains sont morts noyés en Méditerranée cette année victimes des passeurs véritables marchands de morts qui n’hésitent pas à vendre les survivants ». Avant d’appeler l’Union Africaine, aux Nations Unies, à l’Union Européenne pour « une lutte globale au niveau international pour éradiquer définitivement ces pratiques dégradantes ».
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