« Aujourd’hui, le devoir m’appelle ! Car le Sénégal se trouve à la croisée des chemins, comme tout le monde le sait. C’est pourquoi j’ai décidé de me déterminer clairement face aux enjeux cruciaux d’une élection présidentielle très importante dans la trajectoire de notre pays » soutient Penda Mbow dans sa déclaration.
Selon la présidente du Mouvement citoyen, « les fondements des acquis démocratiques sont ébranlés par un accaparement des ressources de ce pays par une oligarchie aveuglée par la logique de la jouissance et la thésaurisation ».
Pour elle, « le Sénégalais demeure le grand oublié de ces dernières années. Les inégalités de toutes sortes se sont nettement accentuées. Le système éducatif est à génoux. Le pays est toujours à la recherche d’un nouvel ordre moral ».
Penda Mbow réitère que « seule la mobilisation des énergies vers un seul objectif, le développement, pourra sauver ce pays ».
En ce qui concerne les Assises nationales, elle déclare que les conclusions de ces Assises n’ont pas été transformées en un instrument de conquête du pouvoir.
« La cassure déplorable de Benno Siggil Sénégal ne doit pas faire penser que tout est perdu. Nous devons garder espoir car rien n’est perdu. Il nous faut simplement repenser et redéfinir la stratégie, dans l’espoir que le peuple des Assises nationales finira par se retrouver » espère Mme Mbow.
A en croire Penda Mbow, dans le contexte actuel, « le meilleur candidat pour l’unité et le rassemblement reste, de mon point de vue, Moustapha Niasse. Homme d’expérience et de conviction, ouvert au dialogue, Moustapha Niasse pourra assurer la transition réussie dont notre pays a tant besoin. Cette transition demeure un impératif pour la restructuration de l’espace public, la remobilisation des populations, la réduction nécessaire du train de vie de l’Etat ».
La présidente du Mouvement citoyen, Penda Mbow, a fait remarquer que « l’après Wade va être difficile à gérer. Seul un président d’un mandat pourra aider à l’assainissement nécessaire et urgent des finances publiques, la refondation de l’Etat, le respect par tous de l’Etat de droit, la promotion d’un nouvel ordre moral dont notre société a tant besoin, comme elle l’avait exprimé en mars 2000 ».
Selon la présidente du Mouvement citoyen, « les fondements des acquis démocratiques sont ébranlés par un accaparement des ressources de ce pays par une oligarchie aveuglée par la logique de la jouissance et la thésaurisation ».
Pour elle, « le Sénégalais demeure le grand oublié de ces dernières années. Les inégalités de toutes sortes se sont nettement accentuées. Le système éducatif est à génoux. Le pays est toujours à la recherche d’un nouvel ordre moral ».
Penda Mbow réitère que « seule la mobilisation des énergies vers un seul objectif, le développement, pourra sauver ce pays ».
En ce qui concerne les Assises nationales, elle déclare que les conclusions de ces Assises n’ont pas été transformées en un instrument de conquête du pouvoir.
« La cassure déplorable de Benno Siggil Sénégal ne doit pas faire penser que tout est perdu. Nous devons garder espoir car rien n’est perdu. Il nous faut simplement repenser et redéfinir la stratégie, dans l’espoir que le peuple des Assises nationales finira par se retrouver » espère Mme Mbow.
A en croire Penda Mbow, dans le contexte actuel, « le meilleur candidat pour l’unité et le rassemblement reste, de mon point de vue, Moustapha Niasse. Homme d’expérience et de conviction, ouvert au dialogue, Moustapha Niasse pourra assurer la transition réussie dont notre pays a tant besoin. Cette transition demeure un impératif pour la restructuration de l’espace public, la remobilisation des populations, la réduction nécessaire du train de vie de l’Etat ».
La présidente du Mouvement citoyen, Penda Mbow, a fait remarquer que « l’après Wade va être difficile à gérer. Seul un président d’un mandat pourra aider à l’assainissement nécessaire et urgent des finances publiques, la refondation de l’Etat, le respect par tous de l’Etat de droit, la promotion d’un nouvel ordre moral dont notre société a tant besoin, comme elle l’avait exprimé en mars 2000 ».
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