Le porte-parole du gouvernement ougandais a déclaré, quant à lui, que « les deux chefs d’Etat ont décidé que les négociations de paix doivent reprendre et être conclues rapidement ». Une déclaration qui ressemble plutôt à une injonction, confirmée d’ailleurs par le communiqué.
Une « déclaration », pas un « accord de paix »
Le 12 novembre, alors que tout semblait réglé, le gouvernement de Kinshasa et le M23 n'avaient pas signé le document proclamant officiellement la fin de la rébellion. Le pouvoir congolais - fort de sa victoire militaire - n’avait accepté de parapher qu'une simple « déclaration » et non un « accord de paix ».Les deux chefs d'Etat, qui ont commencé leurs discussions par un entretien en tête-à-tête. Auraient-ils, chacun, mis un peu d'eau dans leur vin ? En tout cas, le communiqué publié par la présidence ougandaise précise que « le président Kabila a réaffirmé sa détermination à débarrasser la RDC de toutes les autres forces négatives », c'est-à-dire tous les groupes armés qui pullulent dans l'est du pays.
Source : Rfi.fr
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement