10h 24 : L'audience est renvoyée jusqu'au 09 juillet
09h 55 : le juge: Nous constatons que la défense est présente. Le dossier est bien en état.
09h 50 : Me Baboucar Cissé, avocat de l'Etat : Nous sommes devant de Cour d’appel et les constitutions ne sont pas encore notées parce qu’il peut y avoir de nouvelles constitutions. Cela ne veut pas dire que les avocats constitués en premier instance peuvent ne pas se constituer en second instance.
Me Amadou Aly Kane : Le procès des normes dépassent le Code de procédure pénal et le code pénal.
Me Ciré Clédor Ly : Les règles édictées devant le tribunal régional de grande instance, ces règles sont applicables devant la Cour d’appel. Nous vous demandons de nous accorder un délai minimum de 2 mois pour que tous les avocats de la défense puissent être réunis . Tous les avocats qui s’étaient présentés ne sont pas là. Je vous demande d’appliquer l’article 493 du code de procédure pénal.
Le procureur : Pour le renvoi du procès, on peut nous dire que le dossier se présente pour la première fois, on doit le renvoyer pour plus de préparation. Mais, qu’ils ne viennent pas nous dire...
9 heures 37 : Les avocats de la défense ont introduit une requête pour le renvoi de l’audience
Selon la défense, certains avocats qui s’étaient constitués n’ont pas été convoqués. S'appuyant sur l’article 500 du Code de procédure pénal, les avocats demandent le renvoi parce que les avocats de la défense n’ont pas été cités donc la Cour doit statuer sur cette irrégularité.
Me Ciré Clédor Ly : "M. le président, il faut que la Cour ordonne à tout ce que le ministère public ordonne par le biais des convocations. Pour les qualités du jugement, les prévenus ont besoin de leurs avocats.
Le procureur : les avocats disent que les règles ne sont pas respectées. Il faut qu’ils nous disent quelles sont ses règles. Le tribunal doit appeler les prévenus pour leur demander. Si vous avez des témoins à citer, nous sommes en Appel nous ne sommes pas tenus d’appliquer les règles. Et, si vous tenez à ce que des témoins soient entendus, le parquet est à votre disposition.
La défense : Nous avons soulevé une question de droit que la loi dit que les règles applicables à l’artice 174 Cpp, les conseils doivent être avisés et tel n’est pas le cas. Le président doit renvoyer l’affaire jusqu'à ce que les avocats de la défense soient au courant. Nous n’avons pas besoin de nouvelle constitution. Le ministère public doit aviser le conseil.
9 heures 33 : la Cour fait son entrée et fait l’appelle des prévenus un à un. Il s'agit de Khalifa Sall, Mbaye Touré, Yaya Bodian, Fatou Traoré, Mamadou Omar Bocoum,
9 heures 29 : l’audience tarde à démarrer parce que le tribunal n’est pas encore sur place.
9 heures 23 : Le président de la Cour Demba Kandji et ses assesseurs ne sont pas encore sur place.
Du côté de l’opposition seul Malick Gackou est dans la salle.
9 heures 10 : Salle 4 du palais de justice de Dakar. Les partisans du maire de la ville de Dakar Khalifa Ababacar Sall ont sonné à la mobilisation. La salle est remplie de monde. Comme à l’accoutumé, les proches de Khalifa Sall anime la salle par des chansons. « Khalifa dirigé, Khalifa dirigé, Ndam rek, Ndam rek, », scandent-t-il. Le dispositif sécuritaire a été renforcé. La salle grouille d'éléments de la GIGN.
Il faut retenir que seul Khalifa Sall est dans le box. Les avocats de la défense et les avocats de l’Etat sont déjà sur place. Au banc des prévenus, il y a Fatou Traoré, les deux percepteurs pour le moment.
09h 55 : le juge: Nous constatons que la défense est présente. Le dossier est bien en état.
09h 50 : Me Baboucar Cissé, avocat de l'Etat : Nous sommes devant de Cour d’appel et les constitutions ne sont pas encore notées parce qu’il peut y avoir de nouvelles constitutions. Cela ne veut pas dire que les avocats constitués en premier instance peuvent ne pas se constituer en second instance.
Me Amadou Aly Kane : Le procès des normes dépassent le Code de procédure pénal et le code pénal.
Me Ciré Clédor Ly : Les règles édictées devant le tribunal régional de grande instance, ces règles sont applicables devant la Cour d’appel. Nous vous demandons de nous accorder un délai minimum de 2 mois pour que tous les avocats de la défense puissent être réunis . Tous les avocats qui s’étaient présentés ne sont pas là. Je vous demande d’appliquer l’article 493 du code de procédure pénal.
Le procureur : Pour le renvoi du procès, on peut nous dire que le dossier se présente pour la première fois, on doit le renvoyer pour plus de préparation. Mais, qu’ils ne viennent pas nous dire...
9 heures 37 : Les avocats de la défense ont introduit une requête pour le renvoi de l’audience
Selon la défense, certains avocats qui s’étaient constitués n’ont pas été convoqués. S'appuyant sur l’article 500 du Code de procédure pénal, les avocats demandent le renvoi parce que les avocats de la défense n’ont pas été cités donc la Cour doit statuer sur cette irrégularité.
Me Ciré Clédor Ly : "M. le président, il faut que la Cour ordonne à tout ce que le ministère public ordonne par le biais des convocations. Pour les qualités du jugement, les prévenus ont besoin de leurs avocats.
Le procureur : les avocats disent que les règles ne sont pas respectées. Il faut qu’ils nous disent quelles sont ses règles. Le tribunal doit appeler les prévenus pour leur demander. Si vous avez des témoins à citer, nous sommes en Appel nous ne sommes pas tenus d’appliquer les règles. Et, si vous tenez à ce que des témoins soient entendus, le parquet est à votre disposition.
La défense : Nous avons soulevé une question de droit que la loi dit que les règles applicables à l’artice 174 Cpp, les conseils doivent être avisés et tel n’est pas le cas. Le président doit renvoyer l’affaire jusqu'à ce que les avocats de la défense soient au courant. Nous n’avons pas besoin de nouvelle constitution. Le ministère public doit aviser le conseil.
9 heures 33 : la Cour fait son entrée et fait l’appelle des prévenus un à un. Il s'agit de Khalifa Sall, Mbaye Touré, Yaya Bodian, Fatou Traoré, Mamadou Omar Bocoum,
9 heures 29 : l’audience tarde à démarrer parce que le tribunal n’est pas encore sur place.
9 heures 23 : Le président de la Cour Demba Kandji et ses assesseurs ne sont pas encore sur place.
Du côté de l’opposition seul Malick Gackou est dans la salle.
9 heures 10 : Salle 4 du palais de justice de Dakar. Les partisans du maire de la ville de Dakar Khalifa Ababacar Sall ont sonné à la mobilisation. La salle est remplie de monde. Comme à l’accoutumé, les proches de Khalifa Sall anime la salle par des chansons. « Khalifa dirigé, Khalifa dirigé, Ndam rek, Ndam rek, », scandent-t-il. Le dispositif sécuritaire a été renforcé. La salle grouille d'éléments de la GIGN.
Il faut retenir que seul Khalifa Sall est dans le box. Les avocats de la défense et les avocats de l’Etat sont déjà sur place. Au banc des prévenus, il y a Fatou Traoré, les deux percepteurs pour le moment.
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