
Les chauffeurs en grève soutiennent n’avoir pas d’autres solutions que d'abandonner le volant pour faire part des difficultés qui gangrènent leur profession, et cela au grand dam des usagers contraints de s'absenter au travail. De l’avis de Dame Sow du Regroupement des chauffeurs qui se prononçait sur les ondes de la RFM, « ce sont les chauffeurs eux-mêmes qui ont refusé de travailler parce que même s’il n’y a pas de grève ici dans la communauté rurale de Touba, ils ne pourront pas accéder aux autres régions. Les chauffeurs des autres régions vont sûrement leur interdire l’accès aux gares routières ».
«Serigne Sidi Mokhtar a martelé samedi vers 23 heures qu’il ne veut même plus entendre parler de grève dans la cité religieuse de Touba», avertissait auparavant Serigne Cheikh Bara Lahad, petit-fils du Khalife et chargé des affaires liées au transport dans la cité.
«Serigne Sidi Mokhtar a martelé samedi vers 23 heures qu’il ne veut même plus entendre parler de grève dans la cité religieuse de Touba», avertissait auparavant Serigne Cheikh Bara Lahad, petit-fils du Khalife et chargé des affaires liées au transport dans la cité.
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