C’est le jeudi 19 novembre que l’Assemblée nationale va examiné le projet de Loi de finances rectificative les (Lfr) 2015. Pour Macky Sall, rien ne doit se perdre. Toutes les ressources doivent être consommées. La politique du report est bannie. Tout crédit non absorbé va être réalloué à un secteur qui en a besoin. C’est ce qui a motivé, d’une part, la Lfr 2015 qui a été présenté en commission technique à l’Assemblée nationale le mardi dernier. D’autre part, le gouvernement a fait des économies grâce à la baisse historique du prix de baril de pétrole. Ce qui lui a permis de revoir à la baisse la subvention arrêtée dans la Loi de finance initiale (Lfi) 2015.
C’est une manne financière de 121,721 milliards de F CFA que le projet de la Lfr pour l’année 2015 se propose de répartir en services votés et réévalués (pour 11,062 milliards de F CFA) et en mesures nouvelles (pour le reste soit 110,659 milliards de F CFA).
Des économies de 39 milliards F CFA grâce à la baisse du prix du baril du pétrole. Ces 121,712 milliards de F CFA proviennent essentiellement de différentes sources. Le gouvernement a aussi poursuivi sa politique de rationalisation à travers le suivi du niveau d’avancement des procédures de contractualisation, permis d’identifier des marchés qui ne peuvent plus, objectivement, être exécutés au courant de l’exercice 2015. Donc ces crédits allaient être inutilement immobilisés.
Leur couverture budgétaire s’élève à 72, 664 milliards de F CFA, dont 23,044 milliards au titre de dépenses de fonctionnement et 49,62 milliards de dépenses d’investissement. Environ 15 milliards de F CFA pour les universités, 8 milliards pour des vivres de soudure. Selon le journal « Observateur », la réaffectation de ses ressources a permis de prendre en charge certaines dépenses. Les bourses et allocutions d’études ont bénéficié d’une dotation complémentaire de 8 milliards de F CFA, pour porter l’enveloppe budgétaire à 36 milliards. Une rallonge complémentaire de 7 milliards de F CFA a été dégagée pour les frais de fonctionnement des Universités et Centres des œuvres universitaires.
C’est une manne financière de 121,721 milliards de F CFA que le projet de la Lfr pour l’année 2015 se propose de répartir en services votés et réévalués (pour 11,062 milliards de F CFA) et en mesures nouvelles (pour le reste soit 110,659 milliards de F CFA).
Des économies de 39 milliards F CFA grâce à la baisse du prix du baril du pétrole. Ces 121,712 milliards de F CFA proviennent essentiellement de différentes sources. Le gouvernement a aussi poursuivi sa politique de rationalisation à travers le suivi du niveau d’avancement des procédures de contractualisation, permis d’identifier des marchés qui ne peuvent plus, objectivement, être exécutés au courant de l’exercice 2015. Donc ces crédits allaient être inutilement immobilisés.
Leur couverture budgétaire s’élève à 72, 664 milliards de F CFA, dont 23,044 milliards au titre de dépenses de fonctionnement et 49,62 milliards de dépenses d’investissement. Environ 15 milliards de F CFA pour les universités, 8 milliards pour des vivres de soudure. Selon le journal « Observateur », la réaffectation de ses ressources a permis de prendre en charge certaines dépenses. Les bourses et allocutions d’études ont bénéficié d’une dotation complémentaire de 8 milliards de F CFA, pour porter l’enveloppe budgétaire à 36 milliards. Une rallonge complémentaire de 7 milliards de F CFA a été dégagée pour les frais de fonctionnement des Universités et Centres des œuvres universitaires.
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