Après la plante annoncée par le Daara de Koki contre Seydi Gassama et certains médias sénégalais pour diffamation, dans l'affaire des talibés enchaînés à Ndiagne, le Directeur exécutif d'Amnesty international Sénégal, est revenu sur ses propos pour repréciser sa pensée et dissiper l'amalgame.
" Dans une interview accordée à iradio le dimanche 24 novembre 2019, dans son édition de 12 heures, nous dénoncions des actes de maltraitance d'enfants survenus dans le daara de Coki, entendu dans le ressort de la brigade de gendarmerie de Coki qui a procédé à l'interpellation des mis en cause. Dans notre entendement, et celui du journaliste qui faisait l'interview, et comme nous l'avons indiqué dans des publications dans les réseaux sociaux, il ne s'agissait aucunement du célèbre daara de Coki connu au Sénégal et dans le monde sous le nom d'Institut Islamique Ahmadou Sakhir Lo de Coki et qui constitue une référence en matière d'enseignement religieux en Afrique de l'ouest", eput-on lire dans sa note parvenue à PressAfrik..
Monsieur Gassama n'a pas tari d'éloges, en ce qui concerne le Daara de Koki. "En outre les brillants résultats de l'Institut dans les examens du BFEM français et du Baccalauréat français en font le modèle parfait de daara moderne que l'Etat doit soutenir et promouvoir partout au Sénégal. Nous ne saurions donc nous associer, intentionnellement, à une entreprise de nuisance de ce daara ni d'aucun autre établissement d'enseignement religieux du Sénégal", dit-il.
Le droit de l'hommiste de conclure: "Il s'agissait pour nous de dénoncer des actes de maltraitance d'enfants survenus dans un daara, et seulement ces actes, et d'appeler l'État à agir contre leurs auteurs".
" Dans une interview accordée à iradio le dimanche 24 novembre 2019, dans son édition de 12 heures, nous dénoncions des actes de maltraitance d'enfants survenus dans le daara de Coki, entendu dans le ressort de la brigade de gendarmerie de Coki qui a procédé à l'interpellation des mis en cause. Dans notre entendement, et celui du journaliste qui faisait l'interview, et comme nous l'avons indiqué dans des publications dans les réseaux sociaux, il ne s'agissait aucunement du célèbre daara de Coki connu au Sénégal et dans le monde sous le nom d'Institut Islamique Ahmadou Sakhir Lo de Coki et qui constitue une référence en matière d'enseignement religieux en Afrique de l'ouest", eput-on lire dans sa note parvenue à PressAfrik..
Monsieur Gassama n'a pas tari d'éloges, en ce qui concerne le Daara de Koki. "En outre les brillants résultats de l'Institut dans les examens du BFEM français et du Baccalauréat français en font le modèle parfait de daara moderne que l'Etat doit soutenir et promouvoir partout au Sénégal. Nous ne saurions donc nous associer, intentionnellement, à une entreprise de nuisance de ce daara ni d'aucun autre établissement d'enseignement religieux du Sénégal", dit-il.
Le droit de l'hommiste de conclure: "Il s'agissait pour nous de dénoncer des actes de maltraitance d'enfants survenus dans un daara, et seulement ces actes, et d'appeler l'État à agir contre leurs auteurs".
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