Le plus grand nombre de contamination a été enregistré dans l’état d’Uttar Pradesh dans le Nord, suivi de deux autres états de l’Ouest de l’Inde, Gujarat et Maharashtra. Delhi, la capitale est la quatrième ville sur la liste.
Chetan Kothari s’est dit « choqué » par ces chiffres. Il estime cependant que les données livrées par des services publiques ne traduisent pas la réalité. Selon l’activiste des droits de l’homme, il y aurait plus de 5000, voire 6500 personnes contaminées à travers le pays au cours de cette période. Plus de 2 millions de personnes vivent avec le VIH en Inde.
Selon la loi, les hôpitaux doivent effectuer des tests sur les donneurs afin de s’assurer qu’ils ne sont pas porteurs du VIH et qu’ils ne souffrent ni de paludisme, ni d’hépatite B ou C ou d’autres infections.
Mais ces examens médicaux coutent 1200 roupies chacun (18 $ US) et la plupart des hôpitaux en Inde, même publics, ne disposent pas du matériel nécessaire pour effectuer ces tests, explique Chetan Kothari. L’activiste des droits de l’homme révèle par exemple qu‘à Bombay qui est pourtant une grande ville, seuls trois établissements, privés de surcroît, peuvent effectuer ces tests.
Source: Afrique femme
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