Des cortèges sont arrivés de différentes facultés d’Alger et se sont réunis. Il y a désormais plusieurs milliers d’étudiants autour de la grande poste, qui protestent contre un cinquième mandat éventuel du président Abdelaziz Bouteflika.
Dans la foule, de nombreuses pancartes qui demandent un renouvellement des équipes dirigeantes du pays, mais aussi beaucoup de messages pour répondre au Premier ministre Ahmed Ouyahia, qui expliquait que des manifestations lancées par des anonymes, cela pouvait conduire à des crises, comme celle de la Syrie. Et ça, les étudiants n’en veulent pas.
Les enseignants mobilisés
Ce mardi matin, ceux rencontrés étaient déterminés à se faire entendre de façon pacifique. Ils disent qu’ils continueront à manifester jusqu’à ce que les autorités reculent. Cette manifestation se déroule d’ailleurs dans le calme, même s’il y a un déploiement important de forces antiémeutes. En plus de cette manifestation, il y a également un appel à la grève générale.
Le campus de Bab Ezzouar, qui est le plus grand campus du pays et qui accueille d’habitude 40 000 étudiants, est complètement vide, comme c’était déjà le cas ce lundi. Il y a également des manifestations étudiantes très importantes dans d’autres villes du pays, comme Oran, Constantine, Annaba, Tizi Ouzou ou encore Bejaïa.
Ce qui est nouveau ce mardi, c’est que l’on voit des enseignants aux côtés des manifestants. Une organisation de professeurs de l’université avait appelé hier les enseignants à se joindre au mouvement. Il y a donc des professeurs dans le cortège, dans le centre de la capitale. Des enseignants de l’Ecole nationale supérieure des travaux publics ont fait une déclaration en fin de matinée contre le cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika.
Les syndicats appellent à la grève
Contestation à Alger et dans d'autres villes du pays comme à Oran avec des appels à la grève et à la désobéissance civile. Des jeunes des étudiants, mais aussi des travailleurs qui se mobilisent. Plusieurs syndicats ont pris position comme la Cosyfop, la Confédération indépendante des forces productives. Elle a déposé un préavis de grève du 10 au 14 mars prochains dans plusieurs secteurs comme l'énergie, la santé, la justice.
Dans la foule, de nombreuses pancartes qui demandent un renouvellement des équipes dirigeantes du pays, mais aussi beaucoup de messages pour répondre au Premier ministre Ahmed Ouyahia, qui expliquait que des manifestations lancées par des anonymes, cela pouvait conduire à des crises, comme celle de la Syrie. Et ça, les étudiants n’en veulent pas.
Les enseignants mobilisés
Ce mardi matin, ceux rencontrés étaient déterminés à se faire entendre de façon pacifique. Ils disent qu’ils continueront à manifester jusqu’à ce que les autorités reculent. Cette manifestation se déroule d’ailleurs dans le calme, même s’il y a un déploiement important de forces antiémeutes. En plus de cette manifestation, il y a également un appel à la grève générale.
Le campus de Bab Ezzouar, qui est le plus grand campus du pays et qui accueille d’habitude 40 000 étudiants, est complètement vide, comme c’était déjà le cas ce lundi. Il y a également des manifestations étudiantes très importantes dans d’autres villes du pays, comme Oran, Constantine, Annaba, Tizi Ouzou ou encore Bejaïa.
Ce qui est nouveau ce mardi, c’est que l’on voit des enseignants aux côtés des manifestants. Une organisation de professeurs de l’université avait appelé hier les enseignants à se joindre au mouvement. Il y a donc des professeurs dans le cortège, dans le centre de la capitale. Des enseignants de l’Ecole nationale supérieure des travaux publics ont fait une déclaration en fin de matinée contre le cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika.
Les syndicats appellent à la grève
Contestation à Alger et dans d'autres villes du pays comme à Oran avec des appels à la grève et à la désobéissance civile. Des jeunes des étudiants, mais aussi des travailleurs qui se mobilisent. Plusieurs syndicats ont pris position comme la Cosyfop, la Confédération indépendante des forces productives. Elle a déposé un préavis de grève du 10 au 14 mars prochains dans plusieurs secteurs comme l'énergie, la santé, la justice.
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