A noter que tous les députés qui sont passés ont salué la levée du projet du 1/4 bloquant.
Le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur, est interpellé sur la suspension ou report des débats. "Je suis pour la poursuite des débats", a-t-il tranché net. Selon lui, les députés doivent prendre leurs responsabilités. La motion préjudicielle est rejetée.
Me El hadj Diouf reprend en ce moment la parole, il sollicite l'ajournement jusqu'au consensus, au débat au niveau national. Avec ce vote ce sens les institutions qui seront attaquées. Le peuple est en danger. Selon lui, on ne change pas les règles du jeu au moment du jeu. Attendre 2012 pour reprendre ce débat.
Le député libéral Addourahmane Sow ne va pas voter cette loi. Il appelle à la concertation et au dialogue. Avant lui, le député, Imam Mbaye Niang. Bien avant M. Sow, Imam Mbaye Niang avait abondé dans le même sens. Il estime que le Sénégal est apprécié pour sa stabilité sociale et son sens du dialogue. Ce qui fait du pays, un havre de paix.
Mamadou Seck déclare qu'il ne va pas répondre et demande à ses collègues, assis à côté de lui de ne pas
El Hadj Diou ne se laisse pas faire. A sa place il riposte. Il est interpellé par le président de l'Assemblée nationale qui menace d'user de la force pour l'exclure de l'hémicycle. Mais rien n'y fit. Téméraire le patron du PTP ne démord pas. Il répond à Me Babou en continuant de citer un article du règlement intérieur.
Me Badou reprend la parole et traite El Hadj Diouf de méconnaitre les lois.
Il est interrompu net par Me El Hadj Diouf qui reprend la parole à la tribune.
Dès le retour de la pose Me Badou, président de la commission des lois reprend la parole.
Après avoir posé l'exposé des motifs et fait des observations, une pause de 15 minutes ont été observées.
Le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur, est interpellé sur la suspension ou report des débats. "Je suis pour la poursuite des débats", a-t-il tranché net. Selon lui, les députés doivent prendre leurs responsabilités. La motion préjudicielle est rejetée.
Me El hadj Diouf reprend en ce moment la parole, il sollicite l'ajournement jusqu'au consensus, au débat au niveau national. Avec ce vote ce sens les institutions qui seront attaquées. Le peuple est en danger. Selon lui, on ne change pas les règles du jeu au moment du jeu. Attendre 2012 pour reprendre ce débat.
Le député libéral Addourahmane Sow ne va pas voter cette loi. Il appelle à la concertation et au dialogue. Avant lui, le député, Imam Mbaye Niang. Bien avant M. Sow, Imam Mbaye Niang avait abondé dans le même sens. Il estime que le Sénégal est apprécié pour sa stabilité sociale et son sens du dialogue. Ce qui fait du pays, un havre de paix.
Mamadou Seck déclare qu'il ne va pas répondre et demande à ses collègues, assis à côté de lui de ne pas
El Hadj Diou ne se laisse pas faire. A sa place il riposte. Il est interpellé par le président de l'Assemblée nationale qui menace d'user de la force pour l'exclure de l'hémicycle. Mais rien n'y fit. Téméraire le patron du PTP ne démord pas. Il répond à Me Babou en continuant de citer un article du règlement intérieur.
Me Badou reprend la parole et traite El Hadj Diouf de méconnaitre les lois.
Il est interrompu net par Me El Hadj Diouf qui reprend la parole à la tribune.
Dès le retour de la pose Me Badou, président de la commission des lois reprend la parole.
Après avoir posé l'exposé des motifs et fait des observations, une pause de 15 minutes ont été observées.
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