Après la cérémonie d’ouverture, mardi 21 octobre, les mouvements armés devaient discuter avec les médiateurs de la communauté internationale. L’objectif est que chaque partie dise quels sont les points d’accord et les points de désaccord vis-à-vis de ce nouveau document.
Premiers à s’exprimer, le MNLA, le HCUA, le MAA et la CPA se sont étonnés de l’absence de leurs propositions dans leur document. Ils ont alors demandé aux médiateurs du temps pour examiner le texte en détail.
Plus tard dans la journée, la communauté internationale a reçu les autres mouvements du Nord. Leur porte-parole, le leader de la Coordination des mouvements et forces patriotiques de résistance (CMFPR), Harouna Toureh, a affirmé que le texte était satisfaisant et que les mouvements qu’il représente l’approuvent entièrement et n’ont aucune modification à apporter.
Mais à ce stade des négociations, la communauté internationale insiste : si les mouvements approuvent ce texte ils devront faire en sorte que les populations qu’ils disent représenter l’acceptent également.
-
Côte d'Ivoire: Tidjane Thiam auprès de ses partisans pour célébrer sa première année à la tête du PDCI
-
Tchad : le Président Mahamat Idriss Déby promu maréchal
-
Mali: 26 personnes tuées dans des attaques jihadistes près de Bandiagara
-
Le Burkina Faso adopte une loi d’amnistie pour les auteurs du putsch de 2015
-
Guerre au Soudan: plus de 780 civils tués par des paramilitaires à El-Fasher, selon l'ONU