Ndèye Fatou Ndiaye Blondin Diop, la coordonnatrice adjointe de la plateforme, « Sénégal, Avenir Binu beug », a dénoncé "une économie en impact sur l’emploi, sur la santé, l’éducation et sur la confiance". Invitée de Jury du dimanche (JDD) sur I-radio, ce 6 octobre 2024, la toute nouvelle Coordonnatrice du Fonds de développement du service universel des télécommunications (FDSUT) s'est s’interrogée sur "tous les chiffres annoncés" et mais aussi sur "le taux de pauvreté qui ne cesse de s’augmenter".
« Entre nous dans le relationnel, il s'agit de l'économie qui est un impact, sur l'emploi, sur la santé, sur l'éducation et sur la confiance. On s’est toujours posé la question sur les chiffres qu’on nous annonce. Et de l’autre côté, le taux de pauvreté qui augmentait n’en veille la preuve sur le nombre de familles éligibles aux revenues saines », a déclaré Mme Diop Ndeye Fatou Blondin.
Parlant d’une croissance extravertie, la nouvelle Coordonnatrice du FDSUT a précisé que : « Il faut dire qu’au niveau interne même, les chiffres qui étaient annoncés, on se posait toujours la question comment ça se fait que toutes ces valeurs qui augmentent, alors que dans la vie de tous les jours on ne les sent pas. Donc ce sont ces deux facteurs d'économie extravertis, mais aussi le manque de sincérité dans les chiffres ».
Pour l’invité du JDD : « L'autre aspect, c’est que ces bailleurs avec qui nous sommes obligés de faire affaires, parce que nous sommes encore des pays qui n'avons pas beaucoup de ressources propres pour être en autarcie. Salue cet exercice de sincérité dans la réduction des comptes. Et donc, il faut savoir que passer ce moment effectivement de baisse de la notation, il y aura un contrecoup, qui sera le fruit donc de plus de sincérité dans les chiffres, mais aussi de travail qui vienne se traduire par une augmentation de facteurs sur la santé, sur l'économie, sur l'éducation et qui aura un moment de remous ».
La coordonnatrice adjointe de la plateforme, « Sénégal, Avenir Binu beug », a soutenu avoir été dans une entreprise qui avait eu ‘des milliards et des milliards d'euros de dettes qui a été accompagné par l’Etat avec un plan extrêmement dur et qui par la suite maintenant est devenu un fleuron mondial ».
« Que ce soient d'autres modes de solution de financement, ça se traduit toujours par la dette. Mais c'est dans le temps aussi, c'est un Etat et à côté de ça, nous avons de nouvelles ressources. Nous avons le gaz qui va arriver, qui va impacter. Nous avons aussi la confiance parce que dans ces notations, dans ces agences une bonne partie comme dans la bourse, une partie est dans l’immatériels, c'est dans la confiance. Ce n’est pas de dire, celui-là est pauvre, celui-là est riche, c'est de dire celui-là, les 100 francs qu'il a, il les gère bien. L'autre, il a 1000 francs, mais c'est un pays extrêmement corrompu ou les 500 francs entrent dans les poches de quelques personnes et finalement, il ne reste pas grand-chose », dit-elle.
« Entre nous dans le relationnel, il s'agit de l'économie qui est un impact, sur l'emploi, sur la santé, sur l'éducation et sur la confiance. On s’est toujours posé la question sur les chiffres qu’on nous annonce. Et de l’autre côté, le taux de pauvreté qui augmentait n’en veille la preuve sur le nombre de familles éligibles aux revenues saines », a déclaré Mme Diop Ndeye Fatou Blondin.
Parlant d’une croissance extravertie, la nouvelle Coordonnatrice du FDSUT a précisé que : « Il faut dire qu’au niveau interne même, les chiffres qui étaient annoncés, on se posait toujours la question comment ça se fait que toutes ces valeurs qui augmentent, alors que dans la vie de tous les jours on ne les sent pas. Donc ce sont ces deux facteurs d'économie extravertis, mais aussi le manque de sincérité dans les chiffres ».
Pour l’invité du JDD : « L'autre aspect, c’est que ces bailleurs avec qui nous sommes obligés de faire affaires, parce que nous sommes encore des pays qui n'avons pas beaucoup de ressources propres pour être en autarcie. Salue cet exercice de sincérité dans la réduction des comptes. Et donc, il faut savoir que passer ce moment effectivement de baisse de la notation, il y aura un contrecoup, qui sera le fruit donc de plus de sincérité dans les chiffres, mais aussi de travail qui vienne se traduire par une augmentation de facteurs sur la santé, sur l'économie, sur l'éducation et qui aura un moment de remous ».
La coordonnatrice adjointe de la plateforme, « Sénégal, Avenir Binu beug », a soutenu avoir été dans une entreprise qui avait eu ‘des milliards et des milliards d'euros de dettes qui a été accompagné par l’Etat avec un plan extrêmement dur et qui par la suite maintenant est devenu un fleuron mondial ».
« Que ce soient d'autres modes de solution de financement, ça se traduit toujours par la dette. Mais c'est dans le temps aussi, c'est un Etat et à côté de ça, nous avons de nouvelles ressources. Nous avons le gaz qui va arriver, qui va impacter. Nous avons aussi la confiance parce que dans ces notations, dans ces agences une bonne partie comme dans la bourse, une partie est dans l’immatériels, c'est dans la confiance. Ce n’est pas de dire, celui-là est pauvre, celui-là est riche, c'est de dire celui-là, les 100 francs qu'il a, il les gère bien. L'autre, il a 1000 francs, mais c'est un pays extrêmement corrompu ou les 500 francs entrent dans les poches de quelques personnes et finalement, il ne reste pas grand-chose », dit-elle.
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