La liste macabre qui sanctionne l’explosion d’une bonbonne de gaz à la cité Baraka de Liberté 6, s’est à nouveau allongée, hier jeudi, avec une troisième victime. Identifiée sous le nom de Fatou Bintou Sow, elle était maintenue en observation au Service de réanimation de l'Hôpital Principal de Dakar, depuis le 8 février dernier, aux environs de 9 heures, confie l’Observateur.
La mort de la dame Fatou Bintou Sow est encore plus atterrante parce qu'elle était en état de grossesse au moment de l'explosion de la bonbonne de gaz. Dans la panique et dans un instinct de survie, elle avait, en compagnie d'un garçon, «sauté du haut de son balcon au moment où l'explosion, survenue au 3e étage de leur immeuble, avait causé un incendie dans leur bâtiment.
Lundi dernier, le bilan macabre faisait deux morts dont Bachir Kandé (7ans) et la dame Dieynaba Diallo (60 ans), des suites de brûlures. Ils avaient été respectivement hospitalisés à l'hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff et Dalal-Jam de Guédiawaye.
Selon les informations de L'Observateur, Fatou Bintou Sow qui était en réanimation aux Urgences de l'Hôpital Principal, a fini par trépasser des suites de ces blessures et brulures graves. Ce que confirment les termes de l'autopsie effectuée par le Dr Deguenonvo de l'Hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff.
Dans ses conclusions, le médecin légiste parle de «décès secondaire aux complications hémodynamiques de lésions de brûlures thermiques du 2e degré, intéressant près de 50% de la surface corporelle». A la suite de ces conclusions, la procédure de restitution de la dépouille aux siens a été diligentée avec l'établissement du certificat aux fins d'inhumation.
Les limiers du commissariat de Dieuppeul, en charge du dossier, ont déjà procédé aux auditions du boutiquier qui a vendu ladite bonbonne de gaz et du délégué du quartier. La bonbonne de gaz de 6 Kg, à l'origine de ce drame, est soumise à une expertise scientifique poussée pour situer des défaillances ayant conduit à l'explosion.
La mort de la dame Fatou Bintou Sow est encore plus atterrante parce qu'elle était en état de grossesse au moment de l'explosion de la bonbonne de gaz. Dans la panique et dans un instinct de survie, elle avait, en compagnie d'un garçon, «sauté du haut de son balcon au moment où l'explosion, survenue au 3e étage de leur immeuble, avait causé un incendie dans leur bâtiment.
Lundi dernier, le bilan macabre faisait deux morts dont Bachir Kandé (7ans) et la dame Dieynaba Diallo (60 ans), des suites de brûlures. Ils avaient été respectivement hospitalisés à l'hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff et Dalal-Jam de Guédiawaye.
Selon les informations de L'Observateur, Fatou Bintou Sow qui était en réanimation aux Urgences de l'Hôpital Principal, a fini par trépasser des suites de ces blessures et brulures graves. Ce que confirment les termes de l'autopsie effectuée par le Dr Deguenonvo de l'Hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff.
Dans ses conclusions, le médecin légiste parle de «décès secondaire aux complications hémodynamiques de lésions de brûlures thermiques du 2e degré, intéressant près de 50% de la surface corporelle». A la suite de ces conclusions, la procédure de restitution de la dépouille aux siens a été diligentée avec l'établissement du certificat aux fins d'inhumation.
Les limiers du commissariat de Dieuppeul, en charge du dossier, ont déjà procédé aux auditions du boutiquier qui a vendu ladite bonbonne de gaz et du délégué du quartier. La bonbonne de gaz de 6 Kg, à l'origine de ce drame, est soumise à une expertise scientifique poussée pour situer des défaillances ayant conduit à l'explosion.
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