En marge du lancement de la grande initiative dénommée Mobilisation nationale pour l’Engagement citoyen, la Souveraineté, l’Unité et la Refondation (Mesure), Moundiaye Cissé, Directeur exécutif de l’ONG 3D, est revenu sur les enjeux qui entourent l’élection présidentielle 2024.
« Le contexte socio-politique national est marqué par une année électorale. Chaque opération électorale au Sénégal suscite des tensions, d’ici février 2024, chaque opération (décret fixant la date du scrutin, révision des listes électorales, déclaration des candidatures) va susciter des tensions des suspicions, des polémiques, qui peuvent aboutir à des violences », a dit Moundiaye Cissé au cours de la cérémonie de lancement de l’initiative dénommée « Mesure ».
D’après lui, la violence au Sénégal n’a jamais été structurelle, elle a toujours été conjoncturelle. « De 1988 à maintenant, toutes les élections sont marquées par une tension vive accompagnée de violence pré-électorale, électorale, post-électorale », a-t-il fait savoir.
Aujourd’hui, dit-il, c’est une incertitude sur toutes les candidatures. « Incertitude sur la candidature de Khalifa Sall, sur la candidature de Karim Wade, du principal chef de l’opposition Ousmane Sonko, incertitude également sur la candidature du président sortant (Macky Sall). Ces questions sont problématiques et suscitent beaucoup de tensions et d’attention », a souligné le président de l’ONG 3D.
Selon Moundiaye Cissé, la question de révision la question du parrainage va encore se poser. « Le parrainage avec son cortège de contestation notamment sur la question des doublons. Aujourd’hui, le principal problème du parrainage est la question des doublons qu’on n’a pas pu régler. La question va encore poser des problèmes tant qu’on ne trouve pas une solution là-dessus ».
D’après lui, il y a un enjeu de gouvernance et un enjeu de participation. « La révision exceptionnelle doit permettre de favoriser une plus grande participation des citoyens au processus électoral afin d’enrôler les primo votants, de permettre à ceux qui n’ont pas atteint la majorité, qui ont changé de statut de s’inscrire sur les listes électorales. L’enjeu également d’une élection apaisée, une élection non-violente, l’enjeu d’une élection transparente, l’enjeu d’une élection inclusive pour permettre à tous les candidats de se présenter ».
Pour Moundiaye Cissé, cette initiative dénommée « Mesure » devrait permettre de nous « inscrire dans un Sénégal de paix, de concorde, un Sénégal stable surtout dans un contexte marqué par des questions sécuritaires ».
« Le contexte socio-politique national est marqué par une année électorale. Chaque opération électorale au Sénégal suscite des tensions, d’ici février 2024, chaque opération (décret fixant la date du scrutin, révision des listes électorales, déclaration des candidatures) va susciter des tensions des suspicions, des polémiques, qui peuvent aboutir à des violences », a dit Moundiaye Cissé au cours de la cérémonie de lancement de l’initiative dénommée « Mesure ».
D’après lui, la violence au Sénégal n’a jamais été structurelle, elle a toujours été conjoncturelle. « De 1988 à maintenant, toutes les élections sont marquées par une tension vive accompagnée de violence pré-électorale, électorale, post-électorale », a-t-il fait savoir.
Aujourd’hui, dit-il, c’est une incertitude sur toutes les candidatures. « Incertitude sur la candidature de Khalifa Sall, sur la candidature de Karim Wade, du principal chef de l’opposition Ousmane Sonko, incertitude également sur la candidature du président sortant (Macky Sall). Ces questions sont problématiques et suscitent beaucoup de tensions et d’attention », a souligné le président de l’ONG 3D.
Selon Moundiaye Cissé, la question de révision la question du parrainage va encore se poser. « Le parrainage avec son cortège de contestation notamment sur la question des doublons. Aujourd’hui, le principal problème du parrainage est la question des doublons qu’on n’a pas pu régler. La question va encore poser des problèmes tant qu’on ne trouve pas une solution là-dessus ».
D’après lui, il y a un enjeu de gouvernance et un enjeu de participation. « La révision exceptionnelle doit permettre de favoriser une plus grande participation des citoyens au processus électoral afin d’enrôler les primo votants, de permettre à ceux qui n’ont pas atteint la majorité, qui ont changé de statut de s’inscrire sur les listes électorales. L’enjeu également d’une élection apaisée, une élection non-violente, l’enjeu d’une élection transparente, l’enjeu d’une élection inclusive pour permettre à tous les candidats de se présenter ».
Pour Moundiaye Cissé, cette initiative dénommée « Mesure » devrait permettre de nous « inscrire dans un Sénégal de paix, de concorde, un Sénégal stable surtout dans un contexte marqué par des questions sécuritaires ».
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