Aliou Sow s’adresse ainsi à ses ex-camarades libéraux. «Je n’ai aucune leçon de morale, d’éthique à recevoir de quiconque. Et si j’en manquais, je pense que ce ne sont pas ces gens-là qui devraient me le dire. L’éthique, c’est de pouvoir vivre sans ces pressions politiques. Je suis insensible à ces pressions. Je suis sans état d’âme sur cette question». Parlant avec le cœur, l’ancien responsable libéral de marteler : «Celui à qui appartient ce siège c’est le peuple Sénégalais et celui qui l’occupe est choisi par l’institution parlementaire et non par les partis politiques. Au début je ne voulais occuper ce poste, mais sur la base d’un trio connu pour être mes détracteurs, mes pires ennemis, j’ai décidé d’assumer mes responsabilités. J’irai prendre ce que la loi me donne sans me soucier de leurs volontés».
Le patron du MPD tient toutefois à préciser qu’il est loin d’avoir des soucis financiers. «Mon salaire comme maître de conférences pour un travail de 5 heures par semaine en plus de mes encadrements de thèse et de master 2 me donnent presque le salaire d’un député. Je suis consultant international, le contrat dernier que j’ai signé me fait gagner plus que le salaire d’un député pendant trois (3) ans pour un travail de 150 jours...».
Le patron du MPD tient toutefois à préciser qu’il est loin d’avoir des soucis financiers. «Mon salaire comme maître de conférences pour un travail de 5 heures par semaine en plus de mes encadrements de thèse et de master 2 me donnent presque le salaire d’un député. Je suis consultant international, le contrat dernier que j’ai signé me fait gagner plus que le salaire d’un député pendant trois (3) ans pour un travail de 150 jours...».
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