
La détention de Bara Gaye inquiète les organisations de défense des droits de l’Homme. La Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH), la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) et Amnesty International section Sénégal se disent « vivement préoccupées par les péripéties » de la détention de Bara Gaye ».
« A maintes reprises, nos organisations ont été saisies de restrictions de ses visites et, aujourd’hui, sa famille s’inquiète de son transfèrement subit à la Maison d’Arrêt du Cap Manuel », blâment ces organisations dans un communiqué conjoint lu par « L’observateur ». A cet effet, la LSDH, la RADDHO et Amnesty International exhortent les autorités judiciaires et pénitentiaires à veiller « au respect scrupuleux des droits qui lui sont garantis et demandent la levée de toutes les mesures de restrictions à son droit de recevoir des visites ». Mieux, elles ont déploré le fait que le secrétaire général de l’Union des Jeunesses Travaillistes Libérales (UJTL) soit poursuivi et incarcéré sur le fondement des positions de l’article 80 du code pénal dont elles plaident pour son abrogation pure et simple de même que le délit d’offense au chef de l’Etat prévu par l’article 254 du code pénal.
« A maintes reprises, nos organisations ont été saisies de restrictions de ses visites et, aujourd’hui, sa famille s’inquiète de son transfèrement subit à la Maison d’Arrêt du Cap Manuel », blâment ces organisations dans un communiqué conjoint lu par « L’observateur ». A cet effet, la LSDH, la RADDHO et Amnesty International exhortent les autorités judiciaires et pénitentiaires à veiller « au respect scrupuleux des droits qui lui sont garantis et demandent la levée de toutes les mesures de restrictions à son droit de recevoir des visites ». Mieux, elles ont déploré le fait que le secrétaire général de l’Union des Jeunesses Travaillistes Libérales (UJTL) soit poursuivi et incarcéré sur le fondement des positions de l’article 80 du code pénal dont elles plaident pour son abrogation pure et simple de même que le délit d’offense au chef de l’Etat prévu par l’article 254 du code pénal.
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