Quelques heures après le drame qui s’est produit à Sangalkam, la gendarmerie nationale a tenu une conférence de presse pour donner sa version des faits. En effet, accusés d’avoir tué le jeune Malick Bà, les pandores ont défendus la thèse de la légitime défense. «L’agressivité et la détermination des manifestants qui ont réussi entre temps à se faire rejoindre par d’autres personnes de la localité étaient tels que les éléments de la brigades qui ont apporté une réponse graduée ont été obligé de faire usage de leurs armes conformément à la loi» a soutenu le chargé de la communication de la gendarmerie nationale, le capitaine Ibrahima Diop sur les ondes de la Rfm. Selon lui, c’est la foule qui s’était attaquée à la brigade de gendarmerie avec des machettes, des cocktails Molotov alors qu’il n’y avait que 10 gendarmes sur place.
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