«Les changements climatiques ont un impact positif sur les moyens de subsistance des agriculteurs de Nioro dans 4 des 5 cas simulés. L’exception serait dans le scénario chaud et sec. L’arachide telle qu’elle est cultivée aujourd’hui, n’est pas vulnérable aux changements climatiques et en tirerait toujours profit», a déclaré Dr Ibrahima Hathie, de l’Ipar
Pour lui, les techniques actuelles de culture du maïs rendent ce céréale très vulnérable aux changements du climat, contrairement au mil qui lui, n’en ferait que modérément les frais. Avant d’indiquer que «globalement si nous regardons les résultats socio-économiques, du fait du choix de l’arachide dans la zone de Nioro, l’impact global va être positif pour les agriculteurs sur la base des projections».
Interpellé sur le choix de Nioro, le responsable de la recherche de l’Ipar a fait savoir que ce choix émane de plusieurs raisons : «Nous avons choisi Nioro pour plusieurs raisons». Et de citer la situation de Nioro qui est «une zone tampon entre le nord et le sud du Sénégal » avec un système qui concerne une multitude de productions du bassin arachidier. La seconde raison déclare-t-il, est le climat de la capitale du Rip qui fait sentir à cette ville les effets du changement climatique du fait de la position climatique de Nioro», entre autres.
Et la dernière raison serait que les études aussi bien de l’Isra que de l’Enea, ont permis de disposer de bases de données économiques sur lesquelles s'appuyer.
Toutefois, il dénonce la politique de l’Etat qui impose aux populations l’autosuffisance en riz, avec l’implantation des barrages. Alors que les populations étaient sur autre chose. Car pour lui, ces dernières se sont toujours adonnées à la diversification des cultures.
Pour lui, les techniques actuelles de culture du maïs rendent ce céréale très vulnérable aux changements du climat, contrairement au mil qui lui, n’en ferait que modérément les frais. Avant d’indiquer que «globalement si nous regardons les résultats socio-économiques, du fait du choix de l’arachide dans la zone de Nioro, l’impact global va être positif pour les agriculteurs sur la base des projections».
Interpellé sur le choix de Nioro, le responsable de la recherche de l’Ipar a fait savoir que ce choix émane de plusieurs raisons : «Nous avons choisi Nioro pour plusieurs raisons». Et de citer la situation de Nioro qui est «une zone tampon entre le nord et le sud du Sénégal » avec un système qui concerne une multitude de productions du bassin arachidier. La seconde raison déclare-t-il, est le climat de la capitale du Rip qui fait sentir à cette ville les effets du changement climatique du fait de la position climatique de Nioro», entre autres.
Et la dernière raison serait que les études aussi bien de l’Isra que de l’Enea, ont permis de disposer de bases de données économiques sur lesquelles s'appuyer.
Toutefois, il dénonce la politique de l’Etat qui impose aux populations l’autosuffisance en riz, avec l’implantation des barrages. Alors que les populations étaient sur autre chose. Car pour lui, ces dernières se sont toujours adonnées à la diversification des cultures.
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