Le SNTS est sur le pied de guerre. Le non respect des accords signés par l’Etat depuis 2014 en est la cause. Selon le Secrétaire général du SNTS, «depuis la nomination du ministre de la Fonction publique, il n’a pas daigné nous rencontrer. Comme si nous n’existons pas. En plus de cela, il y a la question du statut des EPS qui nous posent énormément de problème. Parce que, quand vous avez au niveau des structures deux agents qui ont la même certification, mais qui sont traités de manière différente en terme salarial. Nous disons qu’il y a problème et qu’il faudra y apporter une solution et c’est seul le statut qui peut y apporter une solution. C’est pour quoi nous interpellons le président de la République pour qu’il intervienne très rapidement afin de régler ce problème », dénonce Souleymane Joe Mané. Avant de poursuivre : « l’autre problème c’est par rapport au relèvement de niveau, le quart bloquant que nous attendons. Nous demandons du ministre des finances de nous payer le quart bloquant. Qu’il est grand temps de nous payer cet argent. Il s’y ajoute également que le fonds de motivation de quatrième trimestre 2015 n’a pas été payé ».
Outre ces doléances, Souleymane Joe Mané, Secrétaire général du SNTS a également noté les lenteurs sur le recrutement des jeunes diplômés et met en garde les autorités. « L’année dernière, ils ont recruté des agents à la fonction publique. Ils sont restés de janvier à fin avril début mai pour ensuite sortir les décisions. Mais de janvier à mai, l’argent qui était inscrit dans le budget, où est ce qu’il est passé cet argent ? C’est l’inscription budgétaire, où est-ce que l’argent là est passé ? Qu’ils nous le disent. Nous avons besoin d’éclairage. L’argent qui est destiné à payer ces agents là, il va où, en campagne électorale ? S’ils pensent qu’ils peuvent le faire ils se trompent », peste le syndicaliste.
Et pour se faire entendre, ces agents comptent paralyser le système. Ils comptent aller en grève collective avec les autres syndicats qui sont dans le secteur de la Santé.
Outre ces doléances, Souleymane Joe Mané, Secrétaire général du SNTS a également noté les lenteurs sur le recrutement des jeunes diplômés et met en garde les autorités. « L’année dernière, ils ont recruté des agents à la fonction publique. Ils sont restés de janvier à fin avril début mai pour ensuite sortir les décisions. Mais de janvier à mai, l’argent qui était inscrit dans le budget, où est ce qu’il est passé cet argent ? C’est l’inscription budgétaire, où est-ce que l’argent là est passé ? Qu’ils nous le disent. Nous avons besoin d’éclairage. L’argent qui est destiné à payer ces agents là, il va où, en campagne électorale ? S’ils pensent qu’ils peuvent le faire ils se trompent », peste le syndicaliste.
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