Le président iranien Hassan Rohani, le 18 septembre, à Téhéran. Reuters/President.ir/Handout via Reuters
Philippe Lalliot
"Porte-parole du ministère français des Affaires étrangères
Nous connaissons tous l’implication de l’Iran aux côtés du régime syrien à travers non seulement un soutien politique mais aussi un soutien militaire, reconnu comme tel d’ailleurs par les autorités iraniennes notamment à l’occasion de cette bataille de Kousseir […] Dès lors, je vois mal comment un pays aussi impliqué dans cette crise et aux côtés d’une des parties à cette crise - le régime syrien - pourrait être un médiateur qui, par définition, doit être neutre et tenir des positions équidistantes entre les parties à un conflit."
Autres articles
-
Liban: 226 agents de santé ont été tués depuis le 7-Octobre
-
Japon: le gouvernement approuve un plan de relance économique de 136 milliards d'euros
-
Climat: la présidence de la COP29 propose 250 milliards de dollars pour la contribution des pays développés
-
L'Ukraine a utilisé des missiles britanniques longue portée Storm Shadow en Russie, selon des médias
-
Haïti : au moins 150 morts en une semaine, l'ONU dénonce la "violence des gangs"