Une queue silencieuse s'est formée devant l'entrée de la mosquée Tantawi. A l'intérieur, on se serre dans les bras, on essuie des yeux mouillés. L'air est lourd d'un silence plein de douleur et le choc peut encore se lire sur les visages. « Maintenant je travaille à l'aéroport mais avant j'étais une hôtesse, la plupart des hôtesses étaient mes amies », confie Sama.
La discussion s'arrête ici, la jeune femme essuie ses larmes, s'excuse, avant de s'effondrer. Tous les proches des victimes émettent le souhait de connaître enfin les circonstances du drame. « C'est dur de ne pas comprendre, nous devons attendre les résultats de l'enquête, témoigne Hicham Manour, 26 ans, qui a perdu deux de ses amis il y a 4 jours. La plupart des gens avaient mon âge. Nous connaissons ces détails qui nous questionnent : il n'y avait rien d'anormal. L’avion était en bon état, le temps était bon aussi, témoigne Il a dû se passer quelque chose, c'est pour cela que nous sommes si tristes. »
Les employés d'EgyptAir ont reçu pour consigne de ne pas parler à la presse. Mais ils sont très nombreux à s'être déplacés. Un groupe d'hôtesses accompagne une vieille femme qui peine à rejoindre la mosquée. « Pourquoi, pourquoi mon fils ? » lâche-t-elle dans un murmure.
Source: Rfi.fr
La discussion s'arrête ici, la jeune femme essuie ses larmes, s'excuse, avant de s'effondrer. Tous les proches des victimes émettent le souhait de connaître enfin les circonstances du drame. « C'est dur de ne pas comprendre, nous devons attendre les résultats de l'enquête, témoigne Hicham Manour, 26 ans, qui a perdu deux de ses amis il y a 4 jours. La plupart des gens avaient mon âge. Nous connaissons ces détails qui nous questionnent : il n'y avait rien d'anormal. L’avion était en bon état, le temps était bon aussi, témoigne Il a dû se passer quelque chose, c'est pour cela que nous sommes si tristes. »
Les employés d'EgyptAir ont reçu pour consigne de ne pas parler à la presse. Mais ils sont très nombreux à s'être déplacés. Un groupe d'hôtesses accompagne une vieille femme qui peine à rejoindre la mosquée. « Pourquoi, pourquoi mon fils ? » lâche-t-elle dans un murmure.
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