Des parlementaires américains et britanniques, dont Donald Payne, ont récemment envoyé une correspondance au président Wade, lui demandant de ne pas se représenter pour un troisième mandat.
Selon les partis de l’opposition, des organisations de la société civile et la grande majorité des constitutionnalistes sénégalais, la Charte fondamentale du Sénégal ne permet pas au présent sortant de postuler pour un troisième mandat.
C’est dans cette optique que le pouvoir et ses alliés ont organisé il y a quelques semaines à Dakar un séminaire réunissant des juristes étrangers qui sont parvenus à la conclusion selon laquelle le président Wade peut bel et bien se présenter pour un troisième mandat selon la constitution.
Selon un communiqué, la conférence des leaders de la Cap 21 soutient que « le Sénégal est une démocratie consolidée, elle dispose d’institutions solides et d’une culture démocratique, qui n’a pas besoin de leçon, quel qu’en soit l’auteur ». C’était à l’occasion d’une réunion pour discuter des « agressions inqualifiables perpétrées contre le choix du peuple sénégalais, par des parlementaires étrangers ».
Malgré tout, la CAP 21 se dit « plus que jamais sereine ». « Ni les prises de position de 4 parlementaires américains, ni celles d’un député anglais ne l’ont ébranlée, encore moins, détournée de sa voie. Elle les considère comme des gesticulations, qui ne méritent aucun intérêt significatif », rapporte encore le communiqué.
Pour la Cap 21, « c’est au peuple sénégalais et à lui seul, qu’incombe le devoir de se prononcer sur ses affaires intérieures ».
Selon ces partis, c’est « également, aux Parlementaires sénégalais, qu’incombe la mission de défendre leur pays, leurs institutions et ceux qui les incarnent, la stabilité du Sénégal et la tranquillité de ses populations, au nom de leurs missions constitutionnelles de garants de la souveraineté du peuple, de la dignité de l’Homme Noir et de leur attachement inflexible à l’égalité de toutes les nations, grandes ou petites ».
Selon les partis de l’opposition, des organisations de la société civile et la grande majorité des constitutionnalistes sénégalais, la Charte fondamentale du Sénégal ne permet pas au présent sortant de postuler pour un troisième mandat.
C’est dans cette optique que le pouvoir et ses alliés ont organisé il y a quelques semaines à Dakar un séminaire réunissant des juristes étrangers qui sont parvenus à la conclusion selon laquelle le président Wade peut bel et bien se présenter pour un troisième mandat selon la constitution.
Selon un communiqué, la conférence des leaders de la Cap 21 soutient que « le Sénégal est une démocratie consolidée, elle dispose d’institutions solides et d’une culture démocratique, qui n’a pas besoin de leçon, quel qu’en soit l’auteur ». C’était à l’occasion d’une réunion pour discuter des « agressions inqualifiables perpétrées contre le choix du peuple sénégalais, par des parlementaires étrangers ».
Malgré tout, la CAP 21 se dit « plus que jamais sereine ». « Ni les prises de position de 4 parlementaires américains, ni celles d’un député anglais ne l’ont ébranlée, encore moins, détournée de sa voie. Elle les considère comme des gesticulations, qui ne méritent aucun intérêt significatif », rapporte encore le communiqué.
Pour la Cap 21, « c’est au peuple sénégalais et à lui seul, qu’incombe le devoir de se prononcer sur ses affaires intérieures ».
Selon ces partis, c’est « également, aux Parlementaires sénégalais, qu’incombe la mission de défendre leur pays, leurs institutions et ceux qui les incarnent, la stabilité du Sénégal et la tranquillité de ses populations, au nom de leurs missions constitutionnelles de garants de la souveraineté du peuple, de la dignité de l’Homme Noir et de leur attachement inflexible à l’égalité de toutes les nations, grandes ou petites ».
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