En effet, ses deux personnalités qui se disent « droits de l’hommiste » ont des appréciations très différentes sur la situation des droits humains au Sénégal. M. Tine a soutenu ceci : « au Sénégal, il n’y pas de graves violations des droits de l’homme. Le problème, c’est d’avoir les institutions qui prennent en charge ces questions ». Pour Tine : « la protection de la promotion des droit de l’Homme à toujours été une réalité au Sénégal, puisque partagée entre les différents autorités ».
Pour tant il ya de cela quelque semaines, M. Gassama, présentant le rapport annuel d’Amnesty international, à déclaré que Macky Sall est moyen bien que son prédécesseur en matière de droit humains. Gassama d’ajouter même que l’actuel Président set moins méritant que son homologue gambien, pourtant très critiqué sur ces questions, informe le journal « Le Quotidien ».
Ainsi, la question est de savoir : si l’appréciation sur les droits de l’Homme peut se faire à géométrie variable ? Est ce que c’est M. Tine, le nouveau promu, dont d’aucuns disent que l’engagement s’est ramolli depuis sa nomination, qui caresse dans le sens du poil ou alors, c’est Gassama « le politicien déguisé », qui est allé trop loin, c’est-à-dire « au-delà du rapport », comme l’accuse le Président Macky Sall ?
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